Les tunisiens n’ont plus le choix des armes: soit une Tunisie indépendante soit une Tunisie wahhabite après avoir laissé faire Ennahdha et ses nervis d’Ettakatol et du C.P.R. pendant 364 jours qui ont saigné à blanc le pays, les tunisiens se donnent enfin bonne conscience pour venir en aide à leur pays.Il vaut mieux tard que jamais mais tout de même quand un blessé a perdu tout son sang sans que personne ne lui vienne en aide bien plutôt quelles seront les chances de survie dudit blessé ? Les tunisiens en ne volant pas au secours de la Tunisie dès le 23 octobre 2011 voire dès le 14 janvier 2011 ont fait preuve d’un désamour dramatique pour leur pays. Ils se sont rendus coupables de crime pour non-assistance à personne en danger.On peut sauver le moribond et se racheter à ses yeux mais à la seule et unique condition que demain chaque tunisien immunisé contre le virus du sida wahhabite donne tout ce qu’il a comme sang en lui pour sauver la Tunisie. Mourir pour mourir autant mourir pour irriguer de son sang les sillons du sol national que de vivre dans le déshonneur, l’indignité, la lâcheté, l’esclavagisme, la barbarie et sous le joug du wahhabisme. Soit l’indépendance nationale soit la colonisation éternelle. Ce n’est pas soit Ennahdha ou la guerre civile comme le proclament des apprentis sorciers qui méritent d’être cloués au pilori de la honte nationale, c’est soit une Tunisie tunisienne, fière, digne et humaine, soit une Tunisie suzeraineté wahhabite, totalitaire, soumise et liberticide. Ce n’est qu’une simple guerre politique, c’est une guerre totale contre le projet génocidaire que la Troïka concocte via l’ANC. au profit de ses commanditaires wahhabites. Ce n’est pas à une guerre civile que l’on doit se résoudre parce que ce n’est une lutte armée entre des franges de la population tunisienne, c’est à une guerre noble pour les libertés, toutes les libertés pour que vive la Tunisie. C’est une guerre sacrée pour sa pérennité nationale si l’on ne veut pas être traduit demain par les générations futures devant le vrai tribunal de l’histoire. Il n’y a ni jugement dernier, ni supplice de la tombe comme se plaisent à l’insuffler dans l’esprit de tunisiens les forces d’occupation wahhabite pour empêcher toute résilience et révolte, il y a un seul impératif: une mobilisation forte, totale et inconditionnelle de tous ses enfants pour une Tunisie vivante contre vents et marées !