Il est connu que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent… »
Les benêts tunisiens qui ont confondu leurs bulletins de vote avec un ticket pour le paradis et un emploi à vie garanti en ont pour leurs frais. Grâce à leur vote, ils ont mis au travail des djihadistes qui n’ont aucune culture du travail, sauf le vitriol avec lequel ils aspergeaient les femmes tunisiennes et les attentatsterroristes meurtriers en 1986, 1987 et 1991. Le premier sous-fifre tunisien de l’Emirat-confetti du Qatar ne présente sur son C.V. que 3 années d’activité salariée et ça reste de surcroît à prouver. Comment un hommme qui n’a jamais travaillé dans sa vie peut-il remettre la Tunisie au travail ? De même que le djihadiste en Chef le terroriste jamais repenti R. Ghannouchi. En effet les promesses qu’Ennahdha a fait miroiter aux adeptes-électeurs tunisiens ne sont qu’une prestidigitation, un tour de passe-passe et une illusion d’optique. Le chiffre insensé, farfelu et abracadabrant de plus de 500 000 emplois sur 3 ans n’est rien d’autre qu’un sepent de mer et une grosse ficelle et un leurre pour abuser de la crédulité des pauvres désoeuvrés tunisiens. Aujourd’hui, Ennahdha amnésique fait machine arrière et accuse les chômeurs tunisiens d’être responsables de leur sort. Or, il n a jamais été question que ce sont les laissés pour compte du marché du travail qui devraient créer leurs propres emplois. Dans la culture fasciste et bigote, c’est toujours la faute à l’autre. Elle est en coihérence avec sa ligne idéologique qui fait de l’autre l’éternel bouc-émissaire. Si le chômage flambe ce n’est certainement la faute aux chômeurs. C’est la faute à Ennahdha et son système de pensée politique fasciste, misogyne, terroriste et raciste qui fait fuir les investisseurs et qui effraient les touristes et les tunisiens eux-mêmes. Contrairement au marché de la foi où il y a des illusions et des benêts qui y croient, ni offre ni demande par conséquent, le marché du travail obéit à des lois du marché. Moins l’offre du travail est disponible plus l’offre se fait forte. La rareté de l’offre d’emploi accroît la demande. Elle l’accélère. Ennahdha a promis aux tunisiens une décélération du chômage par la seule grâce d’Allah. Les modèles de développement économique, les politiques de relance, la consommation, la production, les grands travaux, les bassins d’emploi, l’aménagement du territoire, l’investissement, l’épargne, les taux d’intérêt, la compétitivité, la productivité, les parts de marché, l’innovation technologique, les études de marché, la nanotechnologie, la recherche et développement, les infrastructures, etc… autant de concepts étrangers à la religion. On ne crée pas un emploi comme on se rend à une mosquée. Ce n’est pas le marché de la foi qui fait la dignité et la grandeur du peuple c’est le marché d’emploi. Une économie exsangue engendre le désespoir d’un peuple et remplit les mosquées, c’est mécanique, une économie dynamique vide les mosquées et éloigne le peuple de l’utopie de Dieu.Ennahdha n’a pas menti, car sa promesse n’engage que les pauvres crédules qui ont pris les vessies pour les lanternes. C’est juste un leurre et ça marche puisqu’il a permis à des djihadistes qui ne connaissent de la vertu du travail que les bombes artisanales qu’ils confectionnent et le vitriol qu’ils conditionnent pour répandre la mort et semer la terreur. Encore un effort et toute la Tunisie viendra grossir les rangs des chômeurs et Allah saura vous combler de ses bienfaits paradisiaques. En attendant, laissez vous berner par les illusionsque vous font miroiter ces bras cassés et parasites islamistes. La prière ne nourrit pas son homme et n’enrichit pas un peuple, le travail si. Demandez la recette aux chinois, ils vous diront comment vous y prendre. Gardez votre religion et toute sa misère. C’est avec Allah, la Palestine et la Charia que vous allez pouvoir sortir la Tunisie du mal chronique qui la ronge: le chômage. En conclusion, les ingrédients du plat que vous concoctent l’organisation fasciste d’Ennahdha faute d’impulser un nouveau souffle au pays vont le plonger dans les limbes de l’histoire.