Il est grand temps d’apporter un éclairage sur la vraie nature du vote des ressortissants tunisiens en France…Il est grand temps d’apporter un éclairage sur la vraie nature du vote des ressortissants tunisiens en France et de tordre le coup aux allégations mensongères et fantaisites laissant croire que la majorité des tunisiens de France auraient voté en faveur de l’organisation sectaire, messianique, terroriste d’Ennahdha. Il eût été intéressant d’analyser le profil socio-professionnel de ces tunisiens de France et ceux qui ont apporté leurs suffrages au mouvement islamiste, mais ce n’est pas l’objet. Je m’en tiens aux données brutes chiffrées.
La vérité des chiffres est implacable et infirme tout ce qu’il a été diffusé comme information propagandiste sur l’adhésion massive de la communauté tunisienne de France aux thèses extrémistes, nostalgiques, anti-républicaines, ani-modernistes, anit-laïques, antisémites, bellicistes, anti-musulmanes, xénophobes, machistes, racistes et anti-patriotiques. Au point que des voix se sont élevées partout en France comme en Tunisie pour jeter l’opprobre sur cette communauté. En effet, un simple examen des chiffres révéle que ce vote majoritaire est une vue de l’esprit. Tout d’abord, la communauté tunisienne installée en France avoisine les 600 000 personnes. Ensuite, seuls 119 460 avaient exprimé leurs choix dont 39 000 en faveur la secte. Voilà qui se passe de tout commentaire. Il ne s’agit pas non plus dans le cader de cet examen sommaire du vrai visage de ce vote de procéder à l’analyse de leurs motivations de ces adeptes-électeurs si par extraordianire ils ont relllement objectivé leurs choix et ne pas avoir voté par pure réflexe religieux. Les abstentionnistes ont tort n’est-ce pas ? Il suffit d’analyser l’implantation géographique des bureaux de vote majoritairement installés dans les quartiers où l’U.O.I.F cofondée par ce terroriste de Ghannouchi est dans son territoire d’élection comme la Seine Saint Denis ou les Yvelines, tout particulièrement à Trappes. Le choix des présidents-électeurs ne font pas les tunisiens de France et par conséquent un échantillon représentatif de la majorité de cette communauté. Rapportés aux 600 000 son taux est de 6.6%. Ils ne sont non plus sociologiquement une photographie de cette copmmunauté ? L’I.S.I.E le bras électoral d’Ennahdha a une fois encore péché par un charcutage électoral des plus tendancieux et défavorables aux tunisiens disséminés dans tous les coins de l’Hexagone. Outre le choix des présidents des bureauix de vote qui en dit long sur l’impartialité de cette instance fossoyeuse de la démocratie tuinisienne. La secte dispose d’un fonds de commerce et des moyens logistiques considérables que les vrais partis n’en ont pas: les réseaux des mosquées émaillant la France, les associations cultuelles, les sandwicheries-kebab, les salons de thé, les voitures et les autocars affrétés pour l’occasion, les lieux d’hébergement que sont devenus les espaces de culte. Un seul exemple les résidents tunisiens de Bretagne étaient censés venir voter à Paris. Coût du déplacement au moins 150 € soit 300 DT. Cela équivaut à plus 15% du SMIC ou le tiers du R.M.I. A tous ceux qui crient cocorico ou stigmatisent les tunisiens de France, je leur dis apprenez à analyser, si vous en êtes capables, avant de tirer des conclusions trop hâtives pour nourrir vos préjugés anti-immigrés.
Les tunisiens de France sont étrangers à ce vote scélérat et indigne des hôtes de la république française, haut lieu de la laïcité et des droits fondamentaux.