Le jeudi 24 février 2022, sera marqué dans la mémoire de l’histoire commune comme une journée exceptionnelle submergée de peur, de crainte de cris, et de larmes. Le président russe Vladimir Poutine motivé par des ambitions purement politiques lance une opération militaire contre l’Ukraine et les troupes russes semblent à conquérir rapidement le terrain. Par conséquent on se demande à propos l’avenir de l’humanité avec ces conflits armés ?
« Partout dans le monde, la guerre, la violence et la haine s’étendent, les droits fondamentaux de la personne humaine sont bafoués de plus en plus gravement et de plus en plus systématiquement , des blessés sont achevés, des enfants massacrés, des femmes violées, des prisonniers torturés, des victimes privées d’assistance humanitaire élémentaire, la famine est utilisée comme méthode de guerre contre des civils, les populations civiles deviennent de plus en plus souvent la principale victime des hostilités… » Cet extrait de la Déclaration finale de la Conférence internationale pour la protection des victimes de la guerre souligne et illustre les atrocités qui accompagnent les conflits armés actuels.
Invasion Russe sur l’Ukraine
Des jours avant l’heure zéro, le président des Etats Unis Joe Biden a déclaré que la Russie va évidement lancer une guerre sur l’Ukraine. Les sirènes d’alerte aérienne qui ont retenti dans plusieurs villes de l’Ukraine – le 24 février- suite à de puissantes explosions, viennent comme une confirmation à la déclaration du président Biden.
Les images sombres que de nombreux médias ont circulés traduisent une réalité vivante assez tragique du peuple Ukrainien, des milliers de morts en quelques jours, millions de personnes : femmes, enfants, hommes et les animaux ont fui leurs foyers et l’insécurité vers l’Allemagne, Pologne, France… Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a démontré que plus de 500 000 personnes avaient fui vers les pays voisins et 100 000 étaient déplacées à l’intérieur du pays, et le sauvetage est en continuation constante. D’autres part le HCR a demandé à tous les pays d’accueil, d’accueillir toutes les personnes indépendamment de leur race et de leur nationalité.
Human Right Watch et d’autres organisations ont documentés de graves violations des lois de la guerre causé par la Russie particulièrement, l’utilisation d’une arme à sous munitions, qui est réellement largement interdite par la loi, qui a frappé une rue juste devant un hôpital à Vuhledar, ainsi qu’une école maternelle, même si le droit international interdise strictement toucher des bâtiments qui ne sont pas militaires. Les Conventions de Genève et leur protocoles additionnels protègent les malades, les blessés, les naufragés qui ne participent pas aux hostilités les prisonniers de guerre et les autres personnes privées de liberté, ainsi que les civils et les biens de caractère civil, or l’actualité met en exergue le contraire de ces lignes tracées.
En fait, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International a affirmé « rien ne saurait justifier le largage d’armes à sous munitions dans des zones peuplés et encore moins à proximité d’une école. »
En outre dés le début Poutine n’est pas convaincu par l’indépendance de l’Ukraine en 1991 au juste moment de l’effondrement de l’union soviétique, et il considère que les Russes et les Ukrainiens ne formaient « qu’un seul peuple. » Et il n’a jamais dissimiler ses intentions pour revivre Union soviétique.
L’Ukraine une scène déjà vue
Les images voire les détails terribles nous paraient familier à la mémoire. Pour ne pas trop revenir en arrière et mentionner les deux guerres mondiales juste de se mémoriser des conflits non internationaux en Syrie, ou plus précisément la guerre éternelle d’Israël contre les palestiniens qui n’ont pas véritablement d’armes pour se défendre contre Israël, et par ce fait on se demande quelle est la logique par laquelle on essaye d’analyser ce genre de conflits armés ? Surtout en se rappelant que le Conseil de sécurité des Nations unies a interdit les Etats Unis d’entrer en Iraq, mais avec le Vito certains pays sont en plein sécurité par rapport des décisions prises.
Or, ce n’est pas la logique qui englobe tous les détails, Poutine maintenant est classé comme un criminel de guerre, mais en revenant sur la situation en 2003 ce n’était pas le cas avec George W. Bush même avec ses attaques en Iraq.
Et évidement ce n’est pas le cas pour Israël quand elle fait sortir les palestiniens de leur domicile sans aucune justification, les pays dominantes n’osent pas à considérer cela comme étant « crime de guerre » parce que c’est les intérêts politiques qui règlent la situation.
A titre d’information crime de guerre signifie L’ensemble des lois qui définissent un crime de guerre est constitué des Conventions de Genève, d’un ensemble plus vaste et plus ancien de lois appelé « lois et coutumes de la guerre » et, dans certains cas particuliers, des statuts d’organismes tels que les tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et pour le Rwanda.
Et si on cherche à décrire la condition de Yémen, on arrive à constater que cela ne se diffère pas, les Etats Unis et le Bretagne ont financé l’Arabie Saoudite pour vaincre. En fin Novembre 2021, les Nations unies a démontré en sept ans, la guerre du Yémen aura causé la mort de 377000 personnes. Et en mois de Mars 2022 l’ONU annonce qu’elle cherche 4.3 milliards de dollars pour éviter une famine de masse au Yémen qui est déchiré par la guerre depuis 2014.
La troisième génération des droits humains vise la paix et le développement durable, or les guerres et les conflits énumérés en haut de l’article doute ces droits ainsi que les conventions des conflits armés qui ne respectent pas les limites tracées.