Le propre d’un islamiste est sa propension pathologique à se surestimer et se projetter dans un monde halluciné.Il prend ses désirs pour la réalité. Ses vessies pour des lanternes. Il n’existe que dans l’excès et l’exagéraition. Comme tout sociopathe et pervers narcissique, superficiel, vaniteux, il a un besoin pathologique de recourir à des artifices, aux symboles et user des grosses ficelles et multiplier les manoeuvres dolatoires afin de tromprer son interllocuteur. Dépourvu de discernement et d’intelligence, il se laisse guider par sa seule passion hystérique dont il fait son armure et sa seule arme de défense contre l’environnement extérieur. Complexé, il a un penchant prononcé à l’exubérance et à l’exibitionnisme seul moyen pour lui d’attirer l’attention sur sa personne et dêtre surtout reconnu en tant que tel. Chez lui, tout est est clichés et artfices. Fatuité et vacuité. Ayant certainement manqué d’affection et d’amour dans son enfance sinon il n’aurait pas dissimulé son visage ou celui de ses femmes aux bébés qu’il croiseraiit sur son chemin et dont le sourire qu’ils esquissent sont le reflet de leurs propres visages sur le nôtre. Un visage transfiguré et enlaidi ne peut que susciter peurs et frayeurs chez les bébés.
Imbu de sa personne et insensible, il ne s’attache guère à ces petites questions de détails, indignifiants pour lui mais combien signifiants pour les êtres humains normalement constitués. Ce qui importe à ses yeux, c’est prendre l’ascendant sur son auditoire, le dauber histoire de lui prouver qu’il est son supérieur, qui’il est au-dessus du panier, alors qu’il en est la lie. Il est comme cette grenouille qui veut grossir pour ressembler à un boeuf. Quand on a pas de substance intellectuelle, il reste la voie de la superficialité, la vanité et des démonstrations de force pour exister socialement. Il se drape dans les vertus du savoir religieux et intellectuel et s’autovénère afin de pouvoir obtenir une satisfecit à travers un prestige que lui confère un titre, une fonction ou une activité fruit de des délires mythomaniaques. Doté d’un ego surdimensionné, il théâtralise agressivement et à l’excès son existence en la mettant en scène pour focaliser l’attention sur lui.
En toute évidence, les islamistes tunisiens et en premier lieu le terroriste jamais repenti R. Ghannouchi et son lieutenant des basses besognes et repris de justice pour des crimes terroristes, le dénommé H. Jebali, sont l’archétype même de l’islamiste-imposteur-usurpateur. En effet, un islamiste ne peut exister que dans la fabulation, la terreur, la fourberie, la trahison, la mégalomanie. Il est le roi de l’esbroufe, la perfidie, la mythomanie, le faux-dévotisme et l’imposture. Illusionniste et marchand de temple. Ses organes vitaux sont un tissu de mensonge. Il est dans sa bulle psychotique où tout se confond et s’entremêle, avec une altération aiguë de ses facultés de discernement. Persuadé de la véracité de ses allégations, il se veut dieu à le prophète à la fois ne tolère pas qu’on lui porte la contradiction et démystifier ses élucubrations dogmatiques. Ses assertions sont comme un chäteau de carte, au mondre courant d’air et tout s’écroule. Il vit dans un monde fantasmé et imaginaire dont il veut faire une vérité absolue revêtue du sceau du sacré.
Manipulateur, hâbleur, il brasse du vent et sème la tempête. Il la sème comme ces nuages de cendres assombrissant le ciel et ces fumées grises opaques qu’ils laissent derrièrez lui à chaque fois qu’il passe à l’acte destructeur.
Chez lui, il n’y a pas d’autre alternative que la violence aveugle pour faire adhérer l’autre à son discours insensé truffé de contre-vérités et d’absurdités. Démagogue et entourloupeur, il débite sa litanie d’insanités et ses boniments et comme si ils coulaient d’une source purifiée de toutes les tares humaines, millésimée divine. Comme tout psychotique, il a une tendance prononcée à la mystique et la mythification des événements, qui sont généralement symptomatiques de ses délires fantasmagoriques.
Ce n’est pas par hasard que les terroristes islamistes tunisiens ont tous aujourd’hui cette fächeuse manie d’usurper des dipômes et des titres universitaires ronflants. R. Ghannouchi Dr autoproclamé de la Sorbonne alors qu’il n’y avait fait qu’un passage éclair. Son gendre, qui porte bien son nom de famille Bouchlaka qui signifie littéralement traîne- savate en arabe, ignare en géographie, devenu Chef de la dilplomatie félonne islamiste, à la solde de ses commanditaires qatariens, qui affiche un titre universitaire, loin de correspondre à ses facultés intellectuelles. Etre inscrit en thèse de doctorat ne veut pas dire être titulaire de doctorat. An priori, il n’ y a pas trace de son nom dans le fichier central de thèse en Grande-Bretagne. Il est à noter que les universités britanniques contrairement aux Françaises ne délivrent pas de titre de docteur équivalent au sésame français qui est un bac +8. Or, en Angleterre le cycle d’études universitaires est plus court qu’en France. En ce qui concerne, le diplôme du premier agent du terrorisme djihadiste le dénommé H. Jébali faisant aujourd’hui fonction de premier sinistre du calvaire tunisien, il est sujet à caution. Primo: sauf ou erreur ou omission de ma part, il n’existe pas dans les années 70 une maîtrise spécifique des sciences et techniques en énergies éoliennes. Secundo: ce type de cursus est sanctionné par un diplôme de bac +2 en énergies renouvelables délivré par les I. U.T, le C.N.A.M. Tertio: il n’existe pas encore à ce jour des universités françaises habilitées à délivrer des diplômes de cette nature en matière d’énergies éoloiennes. Les écoles d’ingénieurs ne sont pas légion en la matière, en dehors de l’Ecole des Mines de Douai dans un cursus de formation de 3 ans. Quatro: dans un C.V. il est de règle d’indiquer avec précision l’année, le nom de l’université et le lieu d’obtention de son ou ses diplôme(s). Or, le C.V. de cet individu au profil de branquignol est vaseux. Il est plutôt résumé autobiographique de son parcours de djihadiste islamiste tendance soldat de l’ombre qui a performé dans les attentats à la bombe à Sousse et Monstir. 3 ans d’activité professionnelle sur 44 ans de vie active déduction faite de ses 15 ans aux frais du contribuable tunisien, cela est révélateur du côté assistanat chez les islamistes. La vertu travail est incompatible avec leur idéologie. On dit dans l’Islam que Dieu n’aime pas les assistés et les fainéants. Autre bizarrerie, cet agent terroriste impliqué ne maîtrise pas le français, alors qu’il aurait vécu 9 ans en France. Autre zone d’ombre, silence radio sur son baccalauréat. Il est censé l’avoir obtenu soit en 1987 et au plus tard en 1988. Qu’a t-il fait de 18 à 20 ans avant son son exil en France. De quoi a-t-il vécu pendant tout son séjour en France ? Dans les années 70 justement, la majorité des étudiants étrangers conciliaient études et travail même quand ils étaient boursiers. Ils avaient le droit à un permis provisoire de travail. Encore une entourloupe islamiste. En toute évidence, au vu de leurs C.V. leurs parcours personnels offrent surtout des garanties pour ouvrir la voie aux Tunisiens aux djihads que de remettre la Tunisie au travail. Avec une idéologie qui considère le travail comme un sacrilège, les tunisiens auront à court terme le privilège de rejoindre la Somalie et l’Afghanistan dans le concert des peuples les plus désoeuvrés de la planète.