Tant que les arabes musulmans et leurs facs-similés égyptiens et nord-africains persistent à croire en leur bonne étoile musulmane, ou leur croissant, qui les placerait sur la haute marche du podium divin, qui se veulent eux aussi élus de Dieu par jalousie de cet autre peuple présumé élu, ils continueront à être la risée de l’humanité.Ils sont peut-être les favoris d’Allah comme ils le prétendent, mais ils sont surtout des pantins et des marionnettes. Des pions, rien que des pions. Ils sont une pâte à modeler que les maîtres, les vrais, les anglo-saxons et leurs alliés israéliens soucieux de la sécurité de leurs frontières et de la pérennité du peuple juif, modèlent, façonnent, malaxent, influencent, instrumentalisent, manipulent à leur guise.
Leur personnalité n’est pas trempée dans l’acier et le béton, elle est faite dans le sable du désert arabique et de terre cuite, incapable de résister aux aléas du temps et les intempéries. Au moindre soubresaut de la nature tout s’écroule et les couvre de ridicule et de la honte des défaites. Des peuples disparates, composites, hybrides, aux mœurs souvent diamétralement opposées, hétéroclites, hétérogènes, se veulent un même peuple lié par les seuls liens de religion et de langue. Niant toute autre différence ethnique, culturelle, biologique, historique. Des peuples divisés en unités tribales, régionales, locales et sous-unités claniques ne peuvent constituer entre eux une nation et une communauté de destin humain et politique, et loin de répondre aux critères ethnologiques et politiques. Pour qu’il y ait un peuple arabe, il faut que les arabes s’inscrivent dans une logique citoyenne. Or, la citoyenneté est considérée comme un sacrilège dans un environnement dominé par le mythe du sentiment d’appartenance religieuse. Les arabes et leurs affidés ne sont des fidèles musulmans que lorsqu’ils accomplissent leurs devoirs cultuels et encore, parce qu’il n’y a aucune unité dans le rituel, ni une homogénéité dans la lecture et l’interprétation des textes sacrés censés cimenter et affermir leurs liens d’appartenance à la même communauté.
L’Islam varie d’une région à l’autre. Si vraiment l’Islam était un facteur de rapprochement entre eux pourquoi sont-ils aussi minés par les divisions, les guerres, la haine et les conflits larvés ? Même à l’échelle d’un quartier, l’Islam est loin de contribuer à l’harmonie et à la bonne concorde. Ces peuples dont on veut faire un seul et même peuple sont surtout des peuples de discorde et de mésentente atavique. On ne peut vider les peuples de leur vraie substance pour lui substituer une substance exogène et incompatible avec sa bio-identité. Arabiser, c’est ôter à l’autre son âme et son esprit. Le coloniser pour l’assujettir. Il n’y a pas d’adhésion dans la soumission. L’arabisation est attentatoire à la dignité humaine. Imposer à l’autre un système de valeurs allogène, c’est le dépouiller de sa personnalité et de sa spécificité. Le crime est la négation du droit à la différence au nom de la pureté de la prétendue culture dont on veut faire une culture commune à des populations diverses et diversifiées. Les arabes d’Arabie connus pour leur passé esclavagiste n’ont de cesse que réduire à l’état d’esclaves les peuples colonisés leur donnant cette illusion d’accéder au rang de maîtres alors qu’ils sont dans les faits des éternels esclaves dépourvus de dignité humaine. Une civilisation de barbarie est une civilisation de désillusions, de ruine et de désolation. Ils ne peuvent que semer le vent et répandre des nuages de sable contrairement aux autres peuples tels les perses auxquels ils doivent en grande partie leur entrée éphémère dans la civilisation. Un peuple de destructeurs ne peut travailler dans la durée à la différence des chinois, des hindous, des russes, des scandinaves, des latins, des anglo-saxons, des perses, qui tiennent le choc des grands défis de leur temps parce qu’ils sont des peuples de bâtisseurs, d’où leur capacité de résistance face aux agressions extérieures, les arabes et leurs affidés sont un peuple de sable, incapables de faire face aux vents contraires, toujours besoin du paravent de leurs tuteurs jusqu’au jour où ces derniers les abandonnent à leur triste sort et finisse par être ensevelis par leur propre sable. Tout est pipeau chez eux. Mensonge, égocentrisme, mépris, violence, cruauté, ethnocentrisme, suffisance, arrogance, exubérance, cynisme, arrivisme, mégalomanie, orgie, hypocrisie, indifférence vis-à-vis de la souffrance d’autrui, forfanterie, gloutonnerie, tricherie, corruption, fourberie, inhumanisme, vénalité, opportunisme, pédanterie, terrorisme, lâcheté, exubérance, incivisme, phallocratie, pédophilie, barbarie, fatalisme, sujétion, despotisme, traîtrise, sexualité débridée, veulerie, mesquinerie, etc… Que des attributs qui font d’eux un peuple, à supposer qu’il en soit un, des plus honorables.