Le Qatar à la conquête de la Tunisie aidée par Ennahdha dans son nouveau rôle d’entremetteuse-rabatteuse.L’Emir du caillou désertique du Qatar, soudoyeur et grand argentier des islamistes tunisiens, le Cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani soigne son image à coups d’effets d’annonces en sa qualité de futur prétendant-acquéreur de la terre tunisienne.En effet, ce personnage qui est un mélange des personnages de Rabelais et de Molière de par son aspect massif, son appétit gargantuesque et insatiable, sa fourberie et sa cruauté, est en train de tendre à la fiancée tunisienne une main cousue d’or mais enfermant un fiel de poison.
Ses mercenaires locaux de la secte au passé terroriste avéré d’Ennahdha font preuve d’un zêle antipatriotique rare qui aurait rendu jalouse en son époque la Milice française collaborationniste philonazie en jouant un rôle taillé sur mesure pour eux celui de rabatteurs-marieurs.
Aprês avoir abandonné leurs habits de l’indignité nationale et de l’igniminie, ils harcèlent la fiancée tunisienne, en recourant à la violence et à la corruption pour l’obliger à se résoudre contre son gré à accepter la main caillouteuse et véroléé de ce fils indigne qui a trahi son propre père en le renversant en 1995.
La révolution de l’hiver islamique à défaut d’avoir permis au peuple tunisien de réaliser son rêve démocratique, incompatible avec les exigences des dogmes de sa foi islmaique, a révélé au grand jour qu’une fraction tunisiens préfèrent l’arabo-islamisme stérile et aride en libertés humaines, politiques et de progrès sociaux, aux intérêts supérieurs de leur pays au point qu’ils sont capables de vendre leur patrie aux plus offrants moyennant des babioles chinoises offertes par la secte félonne d’Ennahdha. Le tout sous couvert de la foi islamique. En quelque sorte trahir son pays sous le sceau de la religion est considéré comme une bonne action qui vaudra au traître la bénédiction divine.
En terre d’islam, tout se vend et s’achète tant que cela n’a pas de susbstance divine. Or, la patrie n’est pas dotée d’attributs divins. Ainsi quand un riche musulman, comme c’est présentement le cas avec le croque-mitaine qatari, veut s’en porter acquéreur au nom de la fraternité islamique, il n’ y a pas lieu de contrarier ses prétentions.
C’est pourquoi Ennahdha remplit parfaitement son rôle de chien de garde exhibant ses crocs acérés pour l’occasion comme ceux de son Gourou patenté, le godillot et terroriste R. Ghannouchi qui ne cesse de multiplier les menaces de guerre civile et de plonger le pays dans un bain de sang si les tunisiens s’hasardent à refuser la main du prétendant qatari.
Alors que ce mariage est contre nature pour incomptibilté à la dignité nationale, mais les rabatteurs-marieurs islamistes n’en ont cure de tout cela. La Tunisie sera qatarie ou elle ne le sera pas.
Comment peut-on céder aux tentations de l’utopie qatarie alors qu’il n’ y pas pire humiliation et offense à la dignité des hommes quand le mentor de leurs nouveaux bourreaux et protecteur patenté de leurs anciens bourreaux se propose de leur faire l’aumône en guise de réparation de leur lourd préjudice, de prendre ainsi en charge les frais des soins d’une poignée des blessé, de même que le financement d’un fonds pour les blessés et les morts de la Révolution tunisienne ?
Intentions des plus louables en apparence si l’on connaissait pas ses desseins hégémoniques sur les pays arabes. En tout état de cause, il s’agit d’un cadeau empoisonné et malveillant au peuple tunisien. Il cherche à le dauber et abuser de sa bonne foi. Par ce moyen pernicieux et indécent, il veut instrumentaliser la mémoire des victimes et le sang des blesés de de la barbarie de Ben Ali s à ses fins personnelles. Se doter d’une vitrine à bon compte pour une poignée de dollars pour toucher le jackpot. La martingale royale.
Aussi ses vitrine ses vernis locaux s’efforcent religieusement à faire sa promotion à travers des campagnes agressives et prosélytes, vantant ses mérites et ses qualités humanistes comme si la Milice française Hitler se découvrait des vertus humanistes faisait campagne pour A. Hitler. Son projet s’inscrit dans le cader de le processus de vassalisation de la Tunisie. Par ce biais noble devenu une cause nationale, il met un pied à l’étrier tunisien en attendant d’y mettre les deux. Son geste non dénué d’arrières-pensées politiques et idéologiques porte en lui tous les ferments d’ingérence dans les affaires intérieures de la Tunisie et attentatoire à sa souveraineté nationale.
Le princiipe de ce projet est un nouveau traité de Bardo mais en pire. Chaque cent investi par ce personnage croque-mitaine et aux desseins impériaux est une balle tirée dans le dos des tunisiens. Il veut créer des réseaux d’influence et surtout de dépendance, des laquais favorables à Ennahdha et par conséquent à la qatarisation de la Tunisie. Tous les emplois créés ne seront rien d’autres qu’un nouveau vivier islamiste en Tunisie.
Quand on tient un peuple par le ventre, on conquiert son âme et son esprit. Plus aucune volonté en propre. Le clientélisme qui s’annonce est pire que le précédent parce qu’il vise à faire perdre la Tunisie sa souveraineté nationale. Chez les Cheikhs cousus d’or du Levant, on n’investit pas pour donner les moyens de sa dignité à un peuple, on investit pour assujettir le peuple en lui faisant croire qu’on ne fait qu’appliquer les prescrits de la religion et qu’en échange il doit se se résigner à ses conditions d’existence misérable s’il veut mériter du paradis.
Le meilleur service qu’il puisse rendre au peuple tunisien est d’une part de couper les vivres à Ennahdha et d’autre part restituer tous les avoirs de l’ancienne mafia détenus par ses banques et qui sont le fruit de la dignité tunisienne..
PS. L’investissement est inapproprié, il s’agit plutôt de zakat dont la finalité est de s’attirer les bonnes grâces divines.