La femme au physique originel des plus ingrats et disgracieux que son père a offert en signe de gratitude au Gargantua qatari Cheikha Moza, qui signifie Cheikha banane, qui se rêve en une nouvelle Chajarat Edour de L’Empire Wahhabite en devenir, s’insurge contre ses futurs sujets tunisiens pour leur manque de reconnaissance à l’égard de leurs généreux souverains qataris.Un véritable crime de lèse-majesté que les bédouins qataris ne vont certainement pas manquer de le faire payer cher aux tunisiens. Chez eux, dent pour dent, oeil pour oeil. On doit toujours faire payer à l’ingrat l’offense faite à son donateur.
Chez les bédouins dont elle est issue, sortis du néant de l’humanité grâce à leurs protecteurs anglo-saxons, que tout s’achète et se vend chez eux. Ils ne sont pas l’Abbé Pierre ou Soeur Emmanuel. Le don est un investissement chez eux sauf quand il s’agit d’être généreux avec leurs protecteurs occidentaux. Ils arrosent sans compter hommes politiques et journalistes pour s’attirer leurs bonnes grâces.
Comme tout être fruste et primaire qui a besoin de reconnaissance de ses supérieurs pour exister. Tandis qu’en Tunisie ou dans les pays arabes, ils en font un outil de servitude et d’humiliation.
Donner chez vous c’est soudoyer à l’image de ce que voulait faire votre mari, véritable représentation vivante des dinosaures quand il voulu soudoyer le général soudanais afin qu’il falsifie son rapport d’enquête sur la Syrie en lui demandant de fixer lui-même son propre prix.
Quand vous tendez la main à quelqu’un c’est moins de l’aider et de le soutenir, c’est pour l’aliéner et l’avilir. Votre politique de main tendue consiste à créer des liens de dépendance et asservir ceux que vous prétendez secourir.
Vous voulez non seulement qu’ils vous soient lui et sa descendance redevables à vie mais surtout qu’ils deviennent votre objet, cette chose dont on peut user et abuser à volonté, comme vous le faites avec vos marionnettes d’Ennahdha et le pantin de Marzouki.
L’ingratitude chez les tunisiens n’est pas pas se plier à la volonté des gens de votre espèce qui confondent bienfaisance et solidarité avec abus de faiblesse et profit. Votre culture aride et misérable ne connaît de la générosité que les retombées escomptées. Vous ne faites rien pour rien. Tout ce que vous faites, vous le faites par intérêt et calcul.
Vous êtes avant tout une wahhabite et jamais un wahhabite ne fait le bien pour le bien. Il le fait pour son propre bien. Vos devoirs cultuels ressemblent à des opérations boursières. Vous avez fait du ridicule et de l’exubérance insolente votre source de vie.
Vous ne priez jamais pour prier pour la paix dans le monde par exemple, vous priez pour vous-mêmes et dans la perspective de toucher une plus-value dans l’au-delà. Vous ne faites pas la zakat, l’aumône, par amour du prochain, vous la faites parce que vous y gagneriez doublement.
D’une part, la transformer comme un système de dévoiement de la dignité humaine, au lieu de donner les moyens aux indigents de sortir de leur misère, vous en faites vos obligés à vie et d’autre part parce qu’avez la zakat serait aussi une source de récompense divine.
Et si elle ne l’était pas est-ce que vous vous en acquitteriez ?
Seriez-vous musulmane tendance wahhabite si on vous demandait de faire le bien sans rien attendre au retour ? Ce dont il est à douter au vu de votre back ground culturel et intellectuel. Vous êtes comme tous ces nouveaux riches qui croient pouvoir tout monnayer avec leur fric empestant le souffre ou l’hydrocarbure comme le vôtre.
Si dans votre culture bédouine protohistorique, le bien que vous faites est intéressé, dans la culture millénaire tunisienne, il existe une règle d’or qui n’est pas celui que vous thésaurisez: on doit toujours oublier le bien que l’on fait.
Ainsi, contrairement à ce que vous croyez vous et votre parvenu et gargantuesque Emir, ce dieu Moloch d’un nouveau genre, sans foi ni loi et à l’ingratitude légendaire comme celle dont il a fait preuve à l’égard de son propre géniteur, la générosité n’est pas un titre de propriété, ni un attrape-mouches, pire encore un moyen pernicieux pour bafouer la dignité du récipiendaire.
Vous et votre malotru d’époux vous êtes comme ces péquenots auxquels le bey a offert un cheval. Vous êtes ce qu’on appelle en Tunisie des nouveaux riches. Vous pourrez tout acquérir par votre argent sauf l’essentiel: la bonté de l’âme et la générosité du coeur.
Vous êtes tous les deux une réincarnation moderne des misanthropes de Molière.
Vous avez beau crouler sous un mont de dollars qu’un jour il vous étouffera, vous ne pourrez jamais devenir une Sainte Monique, une Reine Didon, une Saîda al Manoubia, une Aziza Othmana ou une Alla Arbia, et bien d’autres femmes philanthropes, un mot inconnu dans votre lexique qatari.
Alors que vous-même vous êtes l’exemple vivant de la non-reconnaissance de sa propre identité et du mépris de soi. Vous êtes une schizophrène qui veut se donner un air d’une occidentale que vous n’êtes pas mais que vous cherchez à imiter.
Vous avez fait du reniement de votre propre physique votre raison d’être et de vivre. La vraie ingratitude est le refus de s’accepter soi-même et le retour que l’on attend de l’autre. Votre rejet de votre propre image est symptomatique de votre incapacité pathologique à assumer l’humain qui est en vous.
Vous n’êtes pas dans l’être, vous êtes dans le paraître. Votre âme est le reflet dans votre laideur physique originelle. Ce n’est pas en gommant vos imperfections et vos verrues que vous pensez tout effacer d’un coup de bistouri.
La seule chose que vous ne puissiez pas changer sont vos traits de caractère et votre passé d’arriviste patentée. Une âme généreuse donne plus qu’elle n’en reçoit. Faire un procès en ingratitude à un peuple qui a marqué l’histoire des civilisations ne peut que dénoter de votre propre manque de reconnaissance à votre propre humanité.
Le vrai humain est celui qui oeuvre au bien-être commun et à l’amélioration des conditions de vie de son semblable, ce que vous ne l’êtes au vu de vos réalisations destructrices et criminelles dans les pays arabes et en Afrique subsaharienne. Vous profitez de l’état de vulnérabilité des peuples pour semer les graines du désordre et de la terreur.
Votre politique de générosité n’est plus un secret pour personne. Sous couvert d’humanitaire vous en profitez pour livrer des armes pour répandre la mort comme au Mali.
Votre générosité à l’égard des blessés de la Révolution tunisienne, n’est en rien différente de celle d’un pédophile qui offre des bonbons à des petits enfants pour assouvir ses instincts bestiaux. « La vraie générosité consiste à faire plaisir sans espérance de revanche » disait Chevalier de Méré
Chez vous tout tourne autour de l’ajr, le gain. Votre générosité qui est un véritable poison mortel pour la Tunisie et tant d’autres pays est en réalité la face visible de vos opérations de propagande idéologique mortelles pour la pérennité des êtres humains.
La doctrine idéologique dont vous êtes le fer de lance médiatique et l’égérie, une vulgaire imitation d’une poupée Barbie, est une véritable escroquerie intellectuelle et qui dévoie l’islam à des fins d’hégémonisme politique, pire encore porte en elle tous les germes de crimes contre l’humanité.
On achète pas l’honneur des tunisiens, comme un achète celui des brebis galeuses comme Ghannouchi, Marzouki, Jébali et Ben Jaäfar. Les tunisiens ne sont pas dupes de votre jeu néo-colonial.
Ils savent parfaitement ce que votre générosité dissimule. Vous êtes des vulgaires marchands de temple. Toujours à la recherche de l’opportunité de gain. Vous voulez acheter la Tunisie comme si elle était pour vous un produit marchand dont on peut tirer profit. Votre générosité est à géométrie variable, surpayer un Cézanne par exemple et sous-payer Tunisia Telecom.
Vous pourrez tout acheter sauf l’histoire de la Tunisie que vous faites tout avec vos escadrons de la mort salafiste d’effacer de notre mémoire, en incendiant nos mausolées, témoin d’un islam spirituel et humaniste, et démolir nos monuments historiques, pour faire de notre pays un champ de ruine comme le vôtre.
Quoique vous fassiez vous resterez au pied du podium de l’histoire, où seuls les peuples qui ont une histoire y accèdent.