Le cocktail islamiste tunisien a tous les ingrédients du terrorisme institutionnel macoute: corruption, clientélisme, népotisme, familialisme, exhibitionnisme religieux, violence dans toutes ses formes, occultisme, superstition, ésotérisme, exorcisme, diabolisation des adversaires politiques, appels au meurtre, culte des ancêtres, escadrons paramilitaires, invocation des esprits, culte du sacré, anathèmes, messianisme, hystérie collective, abomination de ce qui est différent de soi, transformation des espaces publics en des espaces cultuels, cérémonies charismatiques, processions maraboutiques, sectarisme, idolâtrie, culte de la personnalité, confusion des genres poussée à son paroxysme, inquisition, clanisme, arbitraire, noyautage. D’un système quasi-mafieux et répressif sous Ben Ali, avec la nouvelle junte au pouvoir la Tunisie passe à un système carrément mafieux et résolument terroriste mentalement et institutionnellement qui tisse sa toile d’araignée et l’étend par tous les moyens à tous les rouages de la société tunisienne qui n’est pas sans rappeler le terrorisme institutionnel en Haïti à l’époque de la dictature de Duvalier surnommé Papa Doc dotée de ses propres officines de basse besogne, de liquidation des opposants et sa propre milice armée. Ennahdha dotée elle-même de sa propre milice paramilitaire est en voie de coloniser le pays et de le mettre sous coupe réglée. Cherchant à supprimer tous les symboles et les acquis hérités de Bourguiba, fondateur de la République Tunisienne et de la patrie tunisienne. Les desseins de la nahdhaouisation de la Tunisie prennent chaque jour une forme nouvelle. En effet, il ne passe pas un jour sans que les institutions tunisiennes et les médias ne soient pas mis à mal par l’appétit dévorant du pouvoir d’Ennahdha dont le but avoué est la vassalisation de la Tunisie, c’est-à-dire son inféodation à cette communauté des croyants de laquelle sont exclus tous les non-croyants considérés comme des asociaux et des sujets de seconde zone, le Califat sur le modèle du Reich nazi, qu’elle appelle de tous ses vœux. Sa première phase consiste à s’attaquer aux fondements de la République et à ses symboles, son drapeau et son hymne national. Il n’existe pas d’exemple de pays au monde où le parti au pouvoir de surcroît provisoire fait trôner son drapeau à côté du drapeau national et ce dans les enceintes mêmes des édifices publics. Comme si le drapeau national tunisien est amené un jour à disparaître au profit du drapeau nahdahoui.
La secte d’Ennahdha en a même fait la démonstration en arborant ses seules couleurs lors de la visite qualifiée d’officielle, alors qu’Ennahdha en tant que partie invitante n’est pas es qualité et elle n’est ni le gouvernement ni l’Etat. Elle est organiquement et idéologiquement sectaire et ne possède aucun attribut d’un parti politique. Un parti politique est par définition une des composantes nécessaires au bon fonctionnement de tout système démocratique moderne, alors qu’Ennahdha de par sa nature théocratique, messianique avec un objectif avoué de recourir à la violence dans toutes ses formes porte en elle les ferments du despotisme totalitaire et du sectarisme nazi. De tels signes sont autant d’éléments de preuves formelles sur la nature antipatriotique, anti-républicaine et antinationale d’Ennahdha pour la Tunisie. La dictature nahdhaouie, orchestrée par le terroriste jamais repenti à l’ego surdimensionné et girouette notoire est en train de fomenter un véritable complot contre les institutions républicaines dont Bourguiba avait dotées le pays en son temps et qui ont survécu au règne despotique de Ben Ali.
Ennahdha impatiente d’étancher sa soif insatiable de pouvoir absolu et mafieux est en train d’organiser un véritable raid terroriste de nature institutionnelle, une offensive d’une violence rare ressentie par la majorité des tunisiens comme un véritable attentat contre la morale politique et leur dignité humaine. Son impact psychologique est pire encore dans son intensité à celui des attentats terroristes dont elle s’était rendu coupable dans les années 80 et au début des années 91 tel que celui de Bab-Souika. A défaut d’avoir réussi dans ses opérations terroristes meurtrières et criminelles dans le passé où elle avait cherché à basculer le pays dans un bain de sang qui lui aurait permis de mettre le grappin sur la Tunisie, elle mène tambour-battant, une entreprise effrayante et agressive de nahdhaouisation de tout l’appareil d’Etat du pays et de tous les centres de décisions et de contrôles névralgiques lui permettant d’asseoir et pérenniser son pouvoir. Elle lâche ses commandos, telle une meute de chiens enragés et affamés, dans tout le territoire tunisien, cherchant à l’émailler de chenils peuplés de pitbulls pour garder son pouvoir acquis en une vitesse éclair. Il n’y a pas de doute qu’Ennahdha ne compte pas quitter le navire de si tôt et toute sa stratégie, à supposer qu’elle en ait une, plutôt sa tactique manœuvrière vise à la faire enraciner dans le paysage tunisien de telle sorte à ce qu’elle soit son paysagiste, sa figure tutélaire et maîtresse absolue. Elle se doit par conséquent de s’organiser en une véritable organisation mafieuse dotée d’un système népotique des plus redoutables qui ne peut donner sa pleine mesure que s’il ne repose pas sur l’entourage familial proche, et c’est en toute logique que l’ancien jihadiste s’est mis à favoriser l’ascension ultra-rapide de son clan familial. Sans vergogne, ni scrupule et avec une indécence et une insolence offensante à la dignité du peuple tunisien. Faisant rouvrir ses blessures que lui avait infligées l’ancien despote et son système de favoritisme quasi-mafieux. Les tunisiens qui ont payé de leurs vies et au prix fort les pratiques mafieuses dont ils avaient été victimes dans le passé, les voilà à nouveau confrontées à une nouvelle houle annonciatrice d’un Tsunami à l’ampleur incommensurable surtout que le précédent tremblement de terre a mis leur pays à genoux aux effets dévastateurs en tous points de vue.
Un pays rendu exsangue par l’ancienne pieuvre, semble condamner à subir les assauts tentaculaires d’une nouvelle pieuvre plus vorace et féroce que la précédente. Si le précédente a quasi-affamé le peuple tunisien, celle-ci est pire que la précédente. Son appétit gargantuesque de pouvoir et ses délires messianiques et cosmiques lui font perdre tout sens des réalités et d’humanité. Surtout que ce dernier mot est inconnu dans son répertoire idéologique. Elle ne connaît de ce mot que l’objectif que son idéologie liberticide et totalitaire le lui assigne: islamiser et ré-islamiser l’humanité. Son extrémisme et jusqu’auboutisme la rendent inflexible, psycho rigide et insensible, excluant tout compromis, toute concession de nature à la détourner de son dessein sacré de réislamisation dans sa forme wahhabite de la Tunisie. Jamais, elle ne reculera devant une éventuelle nécessité de réajuster sa tactique mafieuse et hégémonique. Convaincue de la justesse et l’infaillibilité de sa méthode mortifère et scélérate pour l’intérêt commun, elle ne s’imagine guère qu’elle risque de provoquer un Tsunami pour le pays. Si cela se produit, elle ne fait que traduire dans la réalité le Grand Effroi prophétisé par le Coran. Maintenant que la pieuvre islamiste a pris la Tunisie dans ses tentacules, qui va pouvoir l’extraire de son emprise sans que cela ne provoque ce Tsunami prévisible ? Comme toute organisation de terreur mafieuse, il n’ a ni foi ni loi, ni intérêts nationaux ni souveraineté nationale, ni amour de la patrie. Seul compte l’objectif final, le but à atteindre, il ne peut et ne doit y avoir une quelconque éthique à respecter, ni à s’embarrasser de scrupule, pour les islamistes, la voie de Dieu n’a pas à respecter les lois des hommes du fait sa supériorité intrinsèque. Elle dot s’imposer à eux par tous les moyens nécessaires surtout et essentiellement le recours à la violence. Quand ils sont dans le respect de la loi, ce n est qu’un leurre et un simulacre. Leur posture est de rassurer leurs vis-à-vis en adoptant une humanité de façade et leur imposture est moins d’afficher ouvertement leurs vertus légalistes et démocratiques que de laisser le soin à leurs propres adversaires qui deviennent parfois leurs obligés à les draper dans la vertu. Qui est le meilleur avocat de la secte macoute tunisienne ? A l’extérieur, ce sont les occidentaux et à l’intérieur c’est le locataire en bail précaire le nommé Moncef Marzouki qui n’a pas manqué éhonteusement de louer les vertus démocratiques d’une secte apostolique et qui elle-même considère la démocratie comme une apostasie. Faute d’avoir soulevé les foules tunisiennes qui restent majoritairement hostiles à cette organisation macoute, Ennahdha a opté pour une voie plus payante pour elle à moyen et long terme qui consiste à verrouiller et quadriller le terrain à tous les niveaux.
Ennnahdha dès le premier jour de son sacre républicain dans des conditions iniques, ineptes et antidémocratiques, a commencé à tisser sa toile d’araignée à une vitesse vertigineuse, balayant tout sur son chemin, étendant ses réseaux de ramifications à tous les secteurs d’activité, avec un mélange de genres inconnus jusqu’alors en Tunisie (des ministres siégeant à l’assemblée constituante, cumul de casquettes incompatibles). Ses filets apparaissent ainsi comme des nouvelles vannes ouvertes d’un seul coup giclant et inondant de leurs eaux polluées et nauséabondes a point de provoquer un véritable ras de marée d’eaux usées provenant des égouts islamistes afin de rendre le sol tunisien infertile et impropre à la culture des produits nécessaires à la survie de la population à l’instar des tribus arabisées des Bani Hilal 1000 ans plutôt qui avaient déferlé sur la Tunisie telles des sauterelles pour l’arabiser. La Tunisie ne semble pas avoir fini avec ce processus d’arabisation et d’islamisation qui n’a fait qu’engendrer la misère et le despotisme népotique. L’histoire de cette funeste identité arabo-musulmane est un éternel recommencement, assujettir par tous les moyens la Tunisie à la domination du Levant arabique. Un Levant théocratique, génocidaire, ostraciste, qui pratique l’apartheid social, sexuel, racial et religieux, qui fait de l’indignité humaine une condition de vie humaine. Un modèle dangereux et inquiétant pour le devenir humain du pays qu’Ennahdha veut imposer aux tunisiens en leur faisant miroiter le miroir aux alouettes qataries, une véritable couleuvre au venin mortel pour la souveraineté nationale. C’et dans ce contexte qu’elle bâtit avec force et violence des tours de contrôle, des miradors de pénitenciers plutôt dans le champ institutionnel tunisien. Elle sape les fondations du pays et les mine en jalonnant le terrain de mines anti-personnelles à déflagrations pour entretenir un climat de peur et de frayeur.
A l’image des tontons macoutes en Haïti dans les années 60 terrorisant les populations démunies et semant la haine et la discorde entre les gens. Diviser pour mieux armer et dresser les populations les unes contre les autres. Mais il n’a pas que les miliciens macoutes qui ont défrayé la chronique, un peu partout dans le monde y compris en France de Vichy où le gouvernement de Laval s’était doté de sa propre milice pour lutter contre la Résistance française. Il semble qu’il y a une corrélation entre les régimes d’extrême-droite et pas seulement (le cas de la Tunisie Sous Ben Ali) et la création des milices paramilitaires qui sont une véritable police parallèle pour le maintien de l’ordre, de la répression des opposants, une soupape de sécurité pour la pérennité du régime, justicière et tribunal de justice expéditive. Sous couvert de la loi canon de la charia, il y a tout lieu à croire qu’Ennahdha qui elle-même dotée de sa propre milice ne fera pas l’économie de donner à ses miliciens les moyens requis pour mener les actions répressives et dissuasives à l’encontre des opposants tunisiens et l’ensemble de la population. Sous couvert de prosélytisme wahhabite et aidée par ses bailleurs de fonds du Golfe arabique, la secte d’Ennahdha ne va certainement pas manquer d’instituer un régime de terreur et d’institutionnaliser les moyens de mise en ouvre de sa politique liberticide et mafieuse. En l’espace d’un mois la secte d’Ennahdha a abreuvé les tunisiens d’un breuvage des plus amers au goût incomparable à celui que leur a servi l’ancien despote déchu en 23 ans de règne. Passée maîtresse dans l’art de manipulation mentale et de l’endoctrinement idéologico-mystique, elle instrumentaliste à tout venant la religion pour justifier l’injustifiable, et rendre l’intelligible inintelligible, légitimer sous couvert du sacré des agissements délictuels et népotiques. Sa perversion morale n’a d’égale que son habilité à surfer sur sa promiscuité avec Dieu comme s’il en tétait dépositaire de sa parole sacrée et l’exécutante de sa volonté. Se mettant ainsi au-dessus de tout soupçon et surtout au-dessus des lois républicaines tant honnies par elles. Ses recours systématiques à dieu pour masquer son incurie intellectuelle et ses atteintes répétées contre la morale républicaine, la justice sociale, les abus de privilège caractérisés, les délits de favoritisme sur de critères familiaux, sectaires et claniques, de même que cette tendance exhibitionniste à affirmer ostensiblement sa foi par la théâtralisation de son exercice et l’austérité et piété affichée publiquement relèveraient plus du macoutisme intellectuel que d’une réelle volonté de mettre en adéquation les prescrits de l’Islam et la probité de ses actes.
La ferveur religieuse n’est pas un projet de gouvernement, ni une éthique politique, elle dénote d’un esprit bigot et malveillant néfaste pour la démocratie à l’instar des miliciens macoutes qui s’adonnaient au culte du vaudou, faisant de la superstition leur arme de terreur absolue contre les opposants et les atteintes aux biens et aux personnes. En se servant outrancièrement de la religion, Ennahdha cherche surtout à museler et à étouffer toutes réactions hostiles à sa politique liberticide et fascisante. Elle s’appuie sur un système de défense qui occulte toute forme de débat contradictoire au nom du caractère sacré de ses agissements mafieux et répréhensibles tels que les actes de corruption, l’instrumentalisation de la religion et des mosquées à des fins politiques, les troubles de l’ordre public, l’incitation à la violence religieuse, les menaces physiques, les intimidations et les nominations en cascade ou plutôt en rafales imprégnées de népotisme. Un véritable système tentaculaire mystico-mafieux destiné à lui donner les moyens de son appropriation des centres de pouvoir et exercer pleinement son influence à tous niveaux des processus décisionnels. Etant incapable d’impulser une nouvelle dynamique dans l’esprit du progrès humain et le respect du bien commun, Ennahdha s’efforce à écumer pour sévir pour le seul compte de ses seuls intérêts partisans de nature sectaire afin de réaliser son programme de nahdhaouisation de la Tunisie. Verrouillage et quadrillage de l’appareil de l’Etat avec une main mise totale sur tous les rouages politiques, médiatiques, économiques, sociaux, éducatifs, policiers, judiciaires, culturels et financiers. Mais cet hégémonisme contrairement au précédent est enrobé idéologiquement de messianisme et de mysticisme, comme s’il était inspiré et commandité par Dieu lui-même et dont la secte hérétique qui préside à la destinée de la Tunisie n’est qu’une simple exécutante, missionnée pour accomplir la volonté de Dieu sur terre et étendre son pouvoir absolu sur tous les hommes. Ce qui lui permet de se dédouaner comme par enchantement de toutes les accusations de forfaiture et de corruption. Avec un tel subterfuge, où dieu apparaît comme étant le maître d’œuvres, le bénéficiaire et destinataire de cette entreprise de nahdhaouisation de la Tunisie, la masse endoctrinée et abrutie par la foi et la misère ne va pas s’en offusquer et y voir un signe quelconque de mauvaise action. Dans l’idéologie islamiste, il n’y a que des bonnes actions que seul dieu est habilité à juger. Les hommes doivent s’y conformer.
Tout le monde ou presque ne va pas commettre un tel sacrilège pour enfreindre sa volonté dont Ennahdha se veut la dépositaire aujourd’hui en Tunisie. Quand par exemple la franchise McDonald’s en Tunisie revient paradoxalement à un obscur cousin du nazillon islamiste, ceci est l’ouvre de dieu et non des hommes. Il était prédestiné pour ça. Quand Ghannouchi nomme son Monsieur gendre Ministre des A.E. en réalité Ghannouchi n’est qu’un simple exécutant. C’est dieu qui a comblé l’heureux élu de sa grâce divine. Quand il nomme son neveu patron de la télévision nationale, il n’y est pour rien non plus, c’est Dieu qui l’a voulu ainsi suite à une révélation qu’il a faite au petit Papa Doc en devenir pendant son sommeil. Semble-t-il que Dieu lui a ordonné sous peine de finir en enfer de nommer ce neveu qui a tous les atouts requis pour mener la réforme de fond en comble des programmes de télévision en inféodant la chaîne nationale à Al Jazeera devenue la porte-voix de Dieu et qui fait sa gloire et sa fierté. De même que la nomination de sa fille comme porte-parole à l’international de la secte mafieuse et antipatriotique d’Ennahdha et tous ces parachutages qui ont fait l’effet d’une bombe en Tunisie, relèvent de la stratégie divine de colonisation politique et institutionnelle de la Tunisie. On accuse Ghannouchi de tous les maux alors qu’il n’est qu’un vil pion, une disgracieuse marionnette sur l’échiquier de ses vrais maîtres qataris, il ne fait que laisser guider sa main par cette main invisible qui fait marcher les hommes à la baguette. Même les bombes posées et l’aspersion des femmes tunisiennes au vitriol n’étaient pas l’expression de sa volonté propre. Dieu dicte et lui exécute. Il est instrumentalisé par dieu Ni coupable, ni responsable. Pas de procès d’intention à un homme dont le seul crime est d’afficher sa grande promiscuité avec dieu dont il est l’élu du cœur comme il le revendique lui-même. Mais pour que le système de réseaux macoute fonctionne, dieu ne peut tolérer aucun rouage étranger, il a besoin d’hommes de confiance, d’escadrons de la mort, acquis à cette ignoble cause macoute, avec un marqueur idéologique islamiste, animé d’un esprit familiariste au-dessus de tout soupçon et surtout pour lui servir de tentacules pour pouvoir attraper toutes les mouches et les moucherons susceptibles d’enrayer sa belle mécanique. Le dieu de Ghannouchi est une pieuvre tentaculaire pour des raisons génétiques elle ne peut qu’être pourvue que de ses propres tentacules, surtout quand elle en perd un elle doit aussitôt le reconstituer. Après avoir dégusté du Ben Ali and Co. jusqu’à l’indigestion, les tunisiens vont devoir être obligés d’avaler un breuvage fait d’un mélange de souffre, de cyanure et d’acide sulfurique, mortel pour les libertés humaines et profitable pécuniairement aux gourous illuminés. Là où les riches s’enrichissent et les croque-mitaines hantent les jours et les nuits des hommes et non des enfants sous couvert du sacré et au nom de la censure religieuse les libertés régressent et disparaissent et les sociétés humaines se meurent pour finir à ressembler à une nouvelle Somalie. Peuplées de renégats islamistes tels des Shébabs somaliens.