Radin…
Cet espoir en gros
Qui se mordant les nœuds
Au petit coin en feu
Me renvoie au temps des veilles.
Il dort et je me réveille.La nuit se cherche un manteau
Le jour…
Trop pris dans son museau
Se prend à ses orteils.
Du haut de son perché
La souris à se faire plus belle s’amuse
Au chat qui dorloté sommeille.
Ah ce peuple si bon
Qui à défaut d’abeilles
Se colmate un roi…
Et s’emmurant au bois
Du leurre de miel se crée d’un ail!
Que qui démange un parlement brôdé
Brade à ce marché l’oreille
Qui en voudra encore
Du pire à son pareil?
Halez l’arrêt public!
Oh non…
Mais il en reste encore un sou
Et mille festins de paille…
Et une chanson encore
Pour elle mais à sa rêvée de taille
La révolution qui baille!