Accuser le prophète de l’Islam Mohamed de pédophile qui n’est pas sans susciter l’ire des musulmans, au point que cela fait l’effet d’un véritable séisme, comme si l’on avait calomnié et désacralisé la figure du Prophète, ce n’est pas là le sujet, le sujet est de savoir si à son époque, on pouvait légitimement avoir une attirance sexuelle pour des fillettes de 6 ans en âge de jouer à la poupée, que les spécialistes appellent l’âge des cauchemars, un âge inquiétant pour l’enfant ?Il importe peu de connaître avec une précision de mauvais goût l’âge auquel ces pauvres innocentes avaient subi les assauts sexuels du mâle arabe pour les dédouaner de ce que l’on peut qualifier d’acte abominable et infâme contre l’intégrité physique, psychique et biologique de l’enfant. On ne peut nier qu’il n’existe guère dans les pays de la réaction islamique des garde-fous protecteurs des droits de l’enfance dans les pays du puritanisme religieux où certains Muftis n’ont pas hésité à décréter des Fatwas pour les mariages pédophiles au nom de la Sirate ou Tradition du Prophète comme en Arabie Saoudite, modèle phare pour les islamistes tunisiens. La vraie question de fond est de savoir si la morale religieuse qui régit les mécanismes sociaux dans les sociétés wahhabisées ou en voie de l’être réprime les désirs pulsionnels de nature sexuelle de ses disciples masculins à l’égard des fillettes à un âge-charnière du passage de la petite enfance à la pré-puberté ? Si en Occident mécréant selon le qualificatif islamiste, la justice condamne le passage à l’acte ainsi que l’intention manifeste et sans équivoque des pervers sexuels pédophiles, tout indique que dans les sociétés wahhabisées, ces pervers bénéficient d’impunité juridique au nom de la Tradition islamique. Aussi celui qui ne cautionne et ne valide leurs dérives et excès immoraux est considéré comme mécréant.
Ainsi, il n’est pas rare de constater que les âmes sensibles arabes, quelle vilaine expression, se murent dans leur refus de regarder la vérité en face et s’enferment dans leur schéma mental de déni psychotique en dignes héritiers de Tartufe donnant du sens au voile intégral dont ils couvrent le corps de leurs femmes. N’hésitant pas à abreuver d’insultes tous ceux qui s’interrogent sur le rapport entre la criminalité de la pédophilie et sa sacralité. Se poser une question de cette nature n’est pas blasphématoire, ce qui l’est c’est occulter la réalité des crimes sexuels contre l’enfance innocente. Aveuglés par leur hystérie d’enjoliver et encenser la vie du prophète, ils se rendent complices des pédophiles qui sévissent tels des charognes infâmes partout dans le monde. Il est de leur bon droit de défendre l’image du prophète, comme ils ne sont pas en droit de vouloir faire croire que la pédophilie chez eux relève du domaine du sacré et qu’elle n’a pas le caractère criminel que le droit pénal lui accorde. Il ne peut y avoir de traitement à double vitesse et de se prévaloir du caractère exceptionnel et dérogatoire d’un fait avéré ou non de pédophilie quand on veut en faire de surcroît une règle générale opposable aux lois de la République afin que les musulmans puissent vivre leurs libertés sexuelles dans le cadre de leurs mariages pédophiles à l’exemple du Prophète avec Aïcha. Ainsi, dans leur logique insensée, le crime n’est plus un crime quand il est revêtu du label de la Tradition du prophète qui est un blanc seing pour rendre l’illicite licite et vice-versa.
De plus en plus des imams intégristes y compris dans les sanctuaires occidentaux des droits de la protection de la petite enfance, prêchent les mariages pédophiles qui sont autant d’incitations de crimes contre l’humanité, rarement leurs appels au meurtre de l’innocence infantile sont condamnés au sein de leur communauté. Cela semble moins heurter la conscience musulmane que lorsque des voix humanistes s’inquiètent du sort réservé aux fillettes jetées en pâtures aux prédateurs sexuels qui se drapent dans la vertu de la morale religieuse. Il est même à se demander s’il n y a pas là aussi une manière pernicieuse et vicieuse d’encourager les pédophiles du monde entier à se convertir au rigorisme islamique, pour pouvoir bénéficier des immunités en vigueur quant à la pratique libre et sacralisée de la pédophilie. C’est une hypothèse qui n’est pas saugrenue. L’Arabie Saoudite, le Yémen, l’Egypte et au Maroc en sont la preuve. La pédophilie est un fléau mortel pour l’humanité. Qu’elle soit au nom du sacré ou du profane, elle doit être condamnable et disqualifiant son auteur qui doit répondre de ses actes devant les tribunaux des hommes et à défaut ceux de l’histoire. De même qu’il est criminel de chercher à justifier l’injustifiable comme si l’on faisait délibérément l’apologie de la pédophilie pour des raisons abscons et irrationnelles parce qu’elle serait le fait du Prince, en l’occurrence le Prophète. Quand bien même, on ne peut pas observer et analyser les mœurs d’une époque révolue qui s’avère plus que jamais d’actualité avec nos grilles de lecture contemporaine, il n’en demeure pas moins qu’il est absolument intolérable et immoral qu’un homme puisse éprouver une attirance physique pour un enfant de 6 ans et pourquoi pas d’un bébé en couche, comme cela arrive parfois dans nos sociétés. Mais à la différence des sociétés arabes où les droits de l’enfance n’existent pas ou prou au nom des valeurs du sacré, en Occident la morale sociale et le code pénal réprouvent et répriment de tels crimes. Dans le cas de la pédophilie, la justice des hommes est bien supérieure à celle du droit canon de la Charia. Il est fortement recommandé de poursuivre les états musulmans qui légalisent la pédophilie devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l’humanité qui touche l’intégrité physique psychique et morale de la petite enfance.