Jalel Brick et la paranoïa musulmane ou quand les tunisiens se veulent plus Dieu que Dieu Comment peut-on juger du caractère délictuel d’un acte ou des propos à l’égard d’un plaignant imaginaire et illusoire ?A supposer que ceux qui agissent en son nom pour demander justice s’estiment être dans leur bon droit, sont-ils es qualité et mandatés pour agir en l’espèce ? Si effectivement, ils sont en droit de la faire, des deux chose l’une soit le plaignan présumé victime est mineur, et donc sous tutelle parentale ou judiciaire, soit il ne dispose pas de toutes ses facultés mentales et incapable de discernement, et par conséquent le juge des tutelles lui a désigné un tiers pour protéger ses intérêts. Ainsi, notre ami Jalel Brick qui ne ‘est rendu coupable de surcroît d’aucun crime ni délit de repréhensible ni par le droit international ni par le droit interne français au nom de la liberté d’expression a révélé à sa manière la vraie nature paranoïde des musulmans fanatiques voire les prétendus musulmans modérés. En revanche, ce qui tombe sous la coupe de la loi ce sont les appels aux meurtres de notre ami Jalel Brick.
Toutes ces âmes sensibles qui se sentent offensées dans leur foi doivent savoir que la pire offense faite à leur foi est la violence meurtrière accomplie en son nom, de même que le sectarisme religieux et les délires psychotiques qui la minent. Il n’y a pas pire offense que de juger aussi de l’apostasie d’un tiers ou se prévaloir du titre de Compagnon de Prophète ou s’autoproclamer l’élu du coeur d’Allah (Habib Allah). Le vrai crime n’est pas dans les propos de Jalel Brick qui ne relèvent pas de nos tribunaux, le vrai crime est le comportement hystérique et inquisiteur des fanatiques musulmans. Quand Mohamed Merah et les auteurs des attentats du 11 septembre 2011 brisent des destins et fauchent des vies humaines cela laisse les musulmans de marbre, mais quand un homme pris dans le tourbillon de l’ivresse contre la bêtise et l’étroitesse d’esprit des musulmans tient des propos anecdotiques cela provoque un véritable séisme dans les consciences musulmanes.
Si réellement, les fanatiques musulmans avaient une conscience, leur foi ne serait pas aujourd’hui synonyme aux yeux du reste du monde de nazisme hitlérien et de peur phobique. Qu’ils sortent de leur carcan religieux et qu’ils laissent exprimer la voix de la raison plutôt que la haine qui ronge leurs coeurs, tourmente leurs âmes et qui pollue notre monde. Il y a tout lieu de croire qu’il existe deux poids de mesure. Quand on est musulman affiché à l’exemple des terroristes au pouvoir en Tunisie qui transgressent la foi musulmane et mettent le pays sous leur coupe réglée au nom de Dieu, tout leur est permis et toléré et quand on ne se revendique pas de cette religion, on passe sous les fourches Caudines de l’Islam qui n’est pas tendre avec les insolents auxquels il prédit les pires châtiments: la géhenne. Que vous soyez musulmans ou non-musulmans la justice musulmane est à géométrie variable, elle protège le musulman au nom de son équité et voue aux gémonies tous ceux qui n’ont pas le caractère musulman comme ce fut le cas des Hindous, des Arménieins et bien d’autres peuples. Il est même dit dans les textes sacrés de la foi musulmane: on doit soutenir son frère à tort ou à raison. Il est à douter que la raison ait des attributs musulmans sinon ils n’auraient pas fait preuve d’une telle crise de paranoïa aiguë. Dieu n’a jamais donné l’imprématur à quiconque pour le défendre. Sa clémence devrait être la seule réponse éventuelle aux propos qui ont excité la bête immonde qui sommeille chez les fanatiques musulmans et toutes ces pauvres âmes sensibles qui ne connaissent de la sensibilité que leur aversion pathologique des pourfendeurs des hérésies dont Jalel Brick et tant d’autres en font partie. Les révolutions dites du Printemps arabe sont désormais le symbole du Grand Effroi et de cela personne ne doit en douter.