Fini le calvaire de l’hiver avec son froid atroce, voila le printemps qui s’annonce enfin. C’est le temps des balades et de déjeuners en plein air.Mais si le printemps fait le bonheur de certains, il est parfois difficile aux autres à cause des allergies voire même pour des millions de personnes.
En effet, cette période annonce aussi le retour des rhumes et des allergies qui peuvent durer jusqu’à l’automne.
Il importe de noter que si l’allergie est de plus en plus fréquente, ses symptômes ne sont pas toujours suffisamment gênants pour envisager un traitement de fond. Ils peuvent être ponctuels ou saisonniers.
En pratique l’allergie traduit la réaction anormale de votre organisme face à un élément étranger.
Alors qu’il n’existe pas de véritables attaques, il engage des réactions de défense « inappropriées » qui se traduisent par des inflammations, des éternuements, un eczéma.
Le produit jugé dangereux peut être très divers: acariens, pollens, crustacés, ou être contenu dans les poussières, les poils d’animaux.
D’ailleurs, suite à la pollution, aux changements climatiques, au mode de consommation, les allergies ne cessent d’augmenter.
Evidemment avant de présenter brièvement ce sujet, le conseil de votre médecin pourrait vous permettre de faire face à ces désagréments passagers. Votre médecin connait les conséquences de la rhinite allergique qui ne doivent pas être négligées. Aujourd’hui, des traitements efficaces existent.
Oui votre médecin vous passera un examen détaillé de votre gorge et de votre nez, et il recherchera également des signes d’allergie pouvant être situés à d’autres endroits de votre corps (eczéma, asthme,…). Probablement il vous conseille aussi de procéder à un test allergique.
Au delà du nez qui coule ou de l’urticaire disgracieuse, l’allergie peut parfois nécessiter une prise en charge en urgence.
Il est évident que c’est pénible de passer son temps à se moucher avec un nez qui pique et qui démange. Pire encore si on les oreilles bouchées, les yeux bouffis au réveil qui pleurent à la moindre ballade dans les champs…
Dans le cas de rhinites allergiques saisonnières, il existe des traitements préventifs par antihistaminiques qui vous permettront d’éviter complètement l’apparition des symptômes, et dans tous les cas, il les diminuera de façon importante.
Par ailleurs, il a été démontré que la désensibilisation majoritairement prescrite par voie sublinguale pourrait constituer un traitement relativement durable permettant de modifier favorablement l’évolution de la maladie.
Selon la nature de la substance allergisante, prendre les mesures nécessaires pour réduire son contact et son inhalation. L’utilisation d’un filtre anti-pollen dans la voiture peut également diminuer l’exposition à l’allergène.
Pour les rhinites per annuelles, il faut impérativement prendre en charge l’environnement: éviter la moquette, traiter tous les éléments textiles avec des acaricides dans les chambres et utiliser des housses traitées en cas d’allergie aux acariens. Comme autre conseil éviter les animaux, et au minimum leur interdire l’entrée dans les chambres
En réalité pour les réactions graves, dans près de 50 % des cas (et 90 % chez l’enfant),le choc est déclenché par une allergie alimentaire. On citera l’arachide, les fruits exotiques, les protéines d’œuf et du lait de vache, le sésame et la moutarde.
Viennent ensuite les allergies médicamenteuses avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les produits pour examens médicaux contenant de l’iode). Ils représentent 15 à 20 % des cas.
La troisième cause de choc est due aux venins de guêpes, frelons et autres insectes enfin le reste des cas peut avoir des causes aussi variées qu’inattendues: le latex, les acariens, les parasites.
Fort est de constater que quelque soit le type de rhinite allergique, le traitement médicamenteux symptomatique fait appel à des cures d’antihistaminiques ou des corticoïdes en pulvérisation par voie nasale associé ou non
Certains de ces antihistaminiques peuvent être délivrés que sur prescription, d’autres sont vendus librement par votre pharmacien. Sous forme de comprimés, ils agissent sur de nombreux symptômes.
Il est généralement recommandé de les utiliser dès l’apparition des premières manifestations de l’allergie, voire de manière préventive si vous savez que vous allez être au contact de l’allergène.
Sachez que tous ces médicaments n’ont pas exactement les mêmes effets. Si les d’antihistaminiques classiques ont quelques effets secondaires à ne pas négliger (en particulier le risque de somnolence),les d’antihistaminiques dits de seconde génération ciblent mieux le déclencheur de l’allergie et n’ont pas ces effets secondaires gênants.
Finalement en espérant à tous de passer un agréable printemps, juste je vous propose essayer autant que possible d’éviter le contact avec la ou les substances responsables de votre allergies…Je sais ce n’est pas toujours simple mais essayer comme même.
Najeh DaliNajeh Dali: Vivre un printemps sans allergies
Taq: Najeh Dali, allergies, eczéma, rhinites, antihistaminiques, printemps, acariens, pollens, poussières
Fini le calvaire de l’hiver avec son froid atroce, voila le printemps qui s’annonce enfin. C’est le temps des ballades et de déjeuners en plein air.
Mais si le printemps fait le bonheur de certains, il est parfois difficile aux autres à cause des allergies voire même pour des millions de personnes.
En effet, cette période annonce aussi le retour des rhumes et des allergies qui peuvent durer jusqu’à l’automne.
Il importe de noter que si l’allergie est de plus en plus fréquente, ses symptômes ne sont pas toujours suffisamment gênants pour envisager un traitement de fond. Ils peuvent être ponctuels ou saisonniers.
En pratique l’allergie traduit la réaction anormale de votre organisme face à un élément étranger.
Alors qu’il n’existe pas de véritables attaques, il engage des réactions de défense « inappropriées » qui se traduisent par des inflammations, des éternuements, un eczéma.
Le produit jugé dangereux peut être très divers: acariens, pollens, crustacés, ou être contenu dans les poussières, les poils d’animaux.
D’ailleurs, suite à la pollution, aux changements climatiques, au mode de consommation, les allergies ne cessent d’augmenter.
Evidemment avant de présenter brièvement ce sujet, le conseil de votre médecin pourrait vous permettre de faire face à ces désagréments passagers. Votre médecin connait les conséquences de la rhinite allergique qui ne doivent pas être négligées. Aujourd’hui, des traitements efficaces existent.
Oui votre médecin vous passera un examen détaillé de votre gorge et de votre nez, et il recherchera également des signes d’allergie pouvant être situés à d’autres endroits de votre corps (eczéma, asthme,…). Probablement il vous conseille aussi de procéder à un test allergique.
Au delà du nez qui coule ou de l’urticaire disgracieuse, l’allergie peut parfois nécessiter une prise en charge en urgence.
Il est évident que c’est pénible de passer son temps à se moucher avec un nez qui pique et qui démange. Pire encore si on les oreilles bouchées, les yeux bouffis au réveil qui pleurent à la moindre ballade dans les champs…
Dans le cas de rhinites allergiques saisonnières, il existe des traitements préventifs par antihistaminiques qui vous permettront d’éviter complètement l’apparition des symptômes, et dans tous les cas, il les diminuera de façon importante.
Par ailleurs, il a été démontré que la désensibilisation majoritairement prescrite par voie sublinguale pourrait constituer un traitement relativement durable permettant de modifier favorablement l’évolution de la maladie.
Selon la nature de la substance allergisante, prendre les mesures nécessaires pour réduire son contact et son inhalation. L’utilisation d’un filtre anti-pollen dans la voiture peut également diminuer l’exposition à l’allergène.
Pour les rhinites per annuelles, il faut impérativement prendre en charge l’environnement: éviter la moquette, traiter tous les éléments textiles avec des acaricides dans les chambres et utiliser des housses traitées en cas d’allergie aux acariens. Comme autre conseil éviter les animaux, et au minimum leur interdire l’entrée dans les chambres
En réalité pour les réactions graves, dans près de 50 % des cas (et 90 % chez l’enfant),le choc est déclenché par une allergie alimentaire. On citera l’arachide, les fruits exotiques, les protéines d’œuf et du lait de vache, le sésame et la moutarde.
Viennent ensuite les allergies médicamenteuses avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les produits pour examens médicaux contenant de l’iode). Ils représentent 15 à 20 % des cas.
La troisième cause de choc est due aux venins de guêpes, frelons et autres insectes enfin le reste des cas peut avoir des causes aussi variées qu’inattendues: le latex, les acariens, les parasites.
Fort est de constater que quelque soit le type de rhinite allergique, le traitement médicamenteux symptomatique fait appel à des cures d’antihistaminiques ou des corticoïdes en pulvérisation par voie nasale associé ou non
Certains de ces antihistaminiques peuvent être délivrés que sur prescription, d’autres sont vendus librement par votre pharmacien. Sous forme de comprimés, ils agissent sur de nombreux symptômes.
Il est généralement recommandé de les utiliser dès l’apparition des premières manifestations de l’allergie, voire de manière préventive si vous savez que vous allez être au contact de l’allergène.
Sachez que tous ces médicaments n’ont pas exactement les mêmes effets. Si les d’antihistaminiques classiques ont quelques effets secondaires à ne pas négliger (en particulier le risque de somnolence),les d’antihistaminiques dits de seconde génération ciblent mieux le déclencheur de l’allergie et n’ont pas ces effets secondaires gênants.
Finalement en espérant à tous de passer un agréable printemps, juste je vous propose essayer autant que possible d’éviter le contact avec la ou les substances responsables de votre allergies…Je sais ce n’est pas toujours simple mais essayer comme même.