Le président d’opérette M. Marzouki, avec un culot inouï présente à la jeune femme violée par des agents du chaos républicain tunisien les excuses de l’État tunisien.Connaît-il d’abord le sens de ce mot ? Il est à douter qu’il doive le confondre avec état qui renvoie à son état de troubles psychiatriques et qui s’écrit en minuscule à l’image de son rôle guignolesque et potiche au sein du trio d’enfer qui a confisqué le pouvoir au nez et à la barbe des tunisiens qui croyaient avoir voté pour les petites mains de l’Assemblée Nationale Constituante et ils s’étaient trouvés à voter contre leur gré pour des élections législatives pour instaurer un régime parlementaire, pleins pouvoirs au Premier Sinistre inculte et incompétent, l’agent jihadiste et califomane patenté, et un pseudo président d’anthologie guignolesque. Ce dernier fasciné par le prestige de la fonction se serait même converti au salafisme pour satisfaire ses ambitions pathologiques de pouvoir honorifique. Après l’ivresse à la bière dans les bars du Quartier Latin lors de son exil de droit commun en France en sa qualité de conjoint d’une ressortissante française, le voilà aujourd’hui qui s’enivre du sang et des malheurs des tunisiens, poussant l’arrogance et l’opportunisme avec un grand retard à l’allumage jusqu’à vouloir exploiter l’affaire de la violée coupable qui secoue le pays et le monde depuis des semaines. Sentant que le dernier Chant du Cygne est imminent pour lui et ses complices qui devraient être déférés devant la Cour Martiale pour haute trahison et atteintes à la souveraineté nationale, il chercher à se refaire une virginité à bon compte après avoir stigmatisé la femme libre tunisienne en la traitant de femme aux mœurs légères, safirate, contrairement à celle qui se plie aux prescrits de l’Islam, qu’il ne rate pas une occasion pour l’honorer et l’encenser.
Un homme qui a l’outrecuidance de s’exprimer au nom de l’Etat tunisien alors qu’il pérorait partout que la Tunisie n’a plus d’avenir en Tunisie. Ne s’est-il pas lui-même comporté en violeur de la Tunisie ? Il n’a pas à s’exprimer au nom d’un peuple, la composante essentielle de l’Etat, violé maintes fois depuis le 23 octobre 2011 et violé de nouveau à travers la chair de sa chair par des représentants de l’anarchie républicaine dont il est grandement complice. Il n’a aucune légitimité politique, constitutionnelle et institutionnelle pour s’arroger le droit de s’exprimer au nom d’un peuple dont il n’est pas l’élu. Il est un usurpateur et un comploteur au même titre que ses acolytes félons: R. Ghannouchi, le cerveau, Mustapha Ben Jaâfar et le vitrioleur recyclé Hamadi Jébali. Tous aux ordres de R. Ghannouchi le marionnettiste en chef qui, depuis son retour en Tunisie, allume les foyers d’incendie, et instrumentalise les violeurs et les homophobes que Marzouki, dans sa posture de fou illuminé jouant au Président-bouffon, feint d’éteindre. Le peuple victime lui-même d’un viol n’a pas à s’excuser d’un crime dont il portera les séquelles jusqu’au bout du temps. Cette jeune femme violée est le symbole du viol de tout un peuple.