Quelle indécence de voir Sarko, se rendre, à Nice, auprès des pieds-noirs et des harkis, pour draguer leurs voix d’électeurs.Il a reconnu comme en 2007, que les Harkis avaient été oubliés par la France, mais n’a pas demandé pardon au nom de la France, encore moins d’indemniser les victimes.
Engagés dans l’armée Française, ils furent lâchement abandonnés, à partir de mars 1962, aux mains du FLN, qui en massacra plus de 100 000, dans des conditions abominables.
J’appelle cela UN CRIME CONTRE L’HUMANITE.
Les survivants furent expédiés dans des camps, dans le Lot et garonne, par exemple.
Bouteflika les appelle des Collabos.
Bien sûr, ils avaient choisi le mauvais côté de la barrière.
Les militaires Français leur avaient promis un travail, des promotions.
50 ans après, il serait temps que le gouvernement français et le gouvernement algérien reconnaissent cette tragédie, demandent pardon pour les crimes commis;
Mais les cicatrices ne se sont pas encore fermées.
Les fils et petits-fils de harkis éprouvent encore de la rancoeur envers la France;
Je les comprends.
Un jour viendra où un nouveau président en France et un nouveau jeune président en Algérie, ensemble, demanderont pardon à la communauté harkie.