Ces prédicateurs de Wajdi Ghanim au caméléon V.R.P. islamiste Tariq Ramadhan qui squattent la scène tunisienne comme les cités franciliennes sont des véritables commandos de mercenaires à la solde du Qatar.
Ils sont plus dangereux que les snipers de l’ancien despote déchu dans des circonstances troubles dont les tunisiens en ont fait l’amère expérience pendant leur insurrection, le poison qu’ils instillent dans les neurones des masses voire chez une partie des élites est mortel. Il peut empoisonner peut un pays entier en une vitesse-éclair à tout jamais. L’excision, les mariages coutumiers dit Orfi (voir mon article paru dans Tunisie News sur le sujet),les mariages nubiles, la relégation des femmes, les vitupérations antisémites, l’exaltation de la haine raciale, les appels à la violence, l’apologie du nazisme, les pogroms, inqiuisitions et autodfés en tout genre, les menaces sur les libertés humaines, publiques, syndicales, l’embastillement des journalistes, etc qui constituent la partie visible de la chienlit islamiste sont les signes avants-coureurs de la mise à mort lente et progressive de l’identité nationale etde l’Islam Malékite, celui qui irrigue l’âme tunisienne depuis 1400 ans et auquel les félons d’Ennahdha et leurs comparses d’Ettakatol et du C.P.R. veulent lui substituer le sectarisme hérétique wahhabite en vue d’ancrer la Tunisie dans le nouveau Califat qatari. Il y a des signes qui ne doivent tromper personne elle la tenue de la Conférence des ennemis des peuples arabes à Tunis le 25 février 2012, boycottée par les pays du B.R.I.C.S., l’Egypte et L’Algérie qui connaît mieux que quiconque la face cachée de la nouvelle réédition du Congrès de Berlin de 1878 sur le partage du monde.
Dans le cas d’espèce il s’agit des pays arabes appelés à être attelés au Qatar sous bonne garde des E.U. Depuis le 23 octobre 2011 et la victoire douteuse des islamistes, la Tunisie n’est plus maître de sa diplomatie comme en témoigne la nomination éhontée au ministère de la souveraineté nationale, celui des A.E., d’un mercenaire qatari est lourde de sens politique. Les tunisiens semblent s’en accommoder jusqu’au jour où son félon, gourou et de croque-mitaine de beau-père, pondera sa fatwa de rattachement de la Tunisie au nouveau Califat wahabite. Personne ne se révoltera ce jour-là contre la perte de l’indépendance nationale. Le pays ne cesse de devenir la risée des nations avec la visite de l’agent du jihadisme islamiste en Arabie Saoudite où il s’est comporté en un véritable mendiant quémandant l’obole du la veuve et de l’orphelin. Il est è craindre qu’en l’absence de réaction hostile face à toutes ces dérives attentatoires à leur dignité et la souveraineté nationale que les tunisiens finissent par se faire une raison à leur satellisation inexorable. Sachant qu’ il est de règle chez les musulmans de ne jamais se soulever contre le pays frère dominant au nom de la fraternité musulmane. Après tout, on est tous membres de l’Oumma musulmane qui transcende les frontières nationales et ne s’embarrassent jamais des scrupules patriotiques. La vassalisation de la Tunisie est inéluctable. La Charia aura tout son sens juridique le jour où le pays sera intégré dans le nouvel espace wahhabite sous bonne garde américaine qui projette la création pour les pays arabes d’un nouvel Etat supranational fédérateur, de type Califat aboli en 1922 sous la pression conjuguée de la France et la Grande-Bretagne.