Dans les repas de fêtes et funéraires on commence à servir les hommes avant les femmes. Le domestique après le maître ou le seigneur avant son serf. S’il n’y a plus rien il n’y a plus rien et tant pis pour elles alors qu’elles ont sué sang et eau pour préparer les repas et faire la vaisselle.
C’est l’art de vivre à la musulmane où la femme doit toujours être au service de l’homme et dire que des Occidentaux sont séduits par ce mode de vie et ont l’indécence de le louer.
Les vraies règles de bienséance consistent à ne pas honorer les hommes au préjudice des femmes.
On ne leur laisse pas des miettes et on a le culot de seriner que l’islam protège les femmes. Une protection dont la finalité est de renforcer le pouvoir exorbitant des hommes sur elles.
Des hommes qui sont une insulte à la gente masculine comme Ghannouchi sont installés au premier rang dans les cérémonies officielles et religieuses et des femmes honorables et respectables sont perdues au milieu de la foule.
N’y a-t-il pas un hadith qui dit qu’une femme qui passe devant un fidèle pendant qu’il fait sa prière entraîne son annulation ?
N’est-elle pas jugée par Mahomet comme la pire malédiction qu’il laisse derrière lui à ses hommes ?
Pour faire évoluer la place de la femme dans les sociétés musulmanes il faut sortir du Coran faute de pouvoir le réformer et renoncer à la sunna mahométane. Autant attendre la fin du cycle solaire même dans leur au-delà elle est vouée aux feux de l’enfer dixit leur grand modèle.
Accorder les mêmes droits à la femme qu’à l’homme est un sacrilège et un désaveu de la parole d’Allah.
Et pourtant sans Khadija le destin de Mahomet aurait changé et l’islam n’aurait pas existé.
L’islam a raté le rendez-vous de l’histoire en bridant la femme et en l’enchaînant aux dogmes.