Onze députés ont initié une démarche visant à instaurer un dialogue national et à libérer les détenus d’opinion. Ils ont aussi demandé une celerité dans le traitement des cas liés aux politiciens et le respect de la présomption d’innocence. Un communiqué du 20 janvier 2025 a mis en évidence que la Tunisie était confrontée à diverses menaces, y compris le terrorisme, considéré comme un processus d’infiltration de la sûreté nationale. Ils ont jugé que la situation présente exigeait une perspective politique responsable.
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