Tunisie: Diviser le pays en musulmans et mécréants, c’est nouveau Rwanda

Diviser le pays en nahdhaouis-musulmans et mécréants, c’est nouveau Rwanda qui se profile en Tunisie.La Tunisie est-elle une nouvelle Rwanda où les Hutus que sont les islamistes veulent massacrer massivement les Tutsis que sont les non-islamistes ? Quand on divise le pays en croyants et purs parce qu’ils votent pour la secte wahhabite et ceux qui lui sont hostiles, les mécrus et qualifiés de porcs, de sauvages et d’insolents. C’est plus que diviser le pays, c’est la porte ouverte à une campagne de purification religieuse avec ine mise en place de tribunaux d’inquisition pour une justice expédtive. C’est un appel à la

mort licite et ciblé des supposés non-croyants et de tous ceux qui résistent aux desseins hégémonques des wahhabites sur la Tunisie.

C’est pourquoi il ne faut pas dissocier les propos infâmes de cette avocate de l’immondicité humaine des prêches nauséabonds, haineux et racistes ainsi que des menaces de mutilation des sit-inners de Kasbah II et de guerre civile proférées par les uns et les autres tels que le poissonnier sinistre des affaires wahhabites, des élus nahdhaouis de l’A.N.C., d’Abdou transfuge d’Ennahdha au CPR, et surtout de Raspoutine Ghannouchi qui ne rate pas une occasion pour déverser sa haine de la Tunisie et de son histoire millénaire et de sa fille qui appelait à mettre la Tunisie à feu et à sang et à brûler le drapeau national. Ils s’inscrivent dans un contexte de climat annonciateur des longues nuits de ténèbres pour la majorité des tunisiens, qui subit la dictature nazie d’une secte jusqu’au boutiste et déterminée à exterminer les tunisiens pour arriver à ses fins. La Tunisie est en danger de mort. Avec cette avocate, on a touché hier le summum des dérives sémantiques qui ne font aucun mystère du sort qu’Ennahdha réserve aux tunisiens n’a-telle pas dit « que s’il le faut on remplacera (?) le peuple mais jamais le régime ». Se soumettre ou mourir. La peste ou le choléra ? Ennahdha est entrain de semer les graines de la haine, le fanatisme, le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, la ségrégation, l’inhumanisme, la pédophilie, l’excision, l’avilissement des femmes, l’intolérance, et le bannissement. Les propos inqualifiables et intolérables tenus par les fers de lance vérolée d’Ennahdha ne laissent subsister aucun doute sur leurs intentions criminelles et ethnocides. Qualifier son verbiage de bêtise revient à donner à Ennahdha une caution morale, un blanc seing, un encouragement pour accomplir sa politique d’extermination de tous ceux qui n’ont pas son attribut idéologique.

Hitler avait exterminé les non-aryens sur la bases des critères racistes, les islamistes veulent exterminer les non-islamistes sur la base des critères religieux. Aucun doute sur les intentions d’Ennahdha et son programme d’élimination physique et sélective de tous ceux qui s’opposent à elle. Elle se veut l’Islam, soit on est pour l’islam et on est pour elle et on a la vie sauve, soit on est contre elle et on est donc contre l’Islam. Autrement dit un apostat dont le meurtre devient un impératif religieux. Le silence assourdissant dont font preuve les politicards et les associations des droits de l’hommisme en Tunisie est aussi criminel et coupable que la chape de plomb sanguinaire qu’Ennahdha ne va pas tarder d’abattre sur le pays. Il y a une réelle urgence à saisir la justice tunisienne, et en cas de défaillance de cette dernière la C.P.I. en vertu de l’article 7 du Statut de Rome, voire toute autre juridiction d’un pays tiers au nom de la compétence universelle. La ligne jaune vient d’être franchie, l’heure n’est plus à la gesticulation, il faut passer à l’action. On a pas d’autre alternative pour sauver la Tunisie avant qu’elle ne devienne un champ dont le sol est jonché de cadavres de charognes infâmes et ne ressemble à un nouveau Rwanda. Il n’y a jamais de paroles innocentes, il y a des victimes innocentes !

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