Il y va de ce corps que l'on croit si longLa nuit des jours passant.A cet arbre si pluriel de manchesSi singulier pourtantIl riait une roseOu rien enfin qu'une choseQue ...
Oh oui ! C'est un peu trop clair. Ou même un peu trop bête.Pour le comprendre absolumentIl faut juste deux mains, sa propre tête...Un instant pour fermer les yeuxUn autre ...
Ce site web utilise des cookies. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous consentez à l'utilisation de cookies. Consultez notre Politique de confidentialité.