Syrie: culpabilité et faiblesse. Jusqu’à quand ? C’est la question !

La fin de ce massacre n’est pas un secret, le sort de cette tyrannie est bien connu. La question n’est pas celle de l’issue de la corruption.Il s’agit de s’interroger sur Combien de syriens doivent encore passer à l’autre bout du monde au nom de la Liberté pour qu’on rétablisse la paix? Combien faut-il de victime de liberté pour que cette scène prenne fin ? C’est une question de temps ! On est bien certain que la fin s’avère évidente, on est également convaincu qu’après cette tempête le calme règnera. Toutefois la question est jusqu’à quand ?

Le nombre de mort ne cesse d’augmenter de jour en jour voire d’une minute à une autre ; N’est-il pas temps pour se réveiller ? N’est-il pas temps pour aider le peuple syrien à renverser le gouvernement ? C’est un appel au peuple arabe, d’une part aux gouvernants d’autre part aux gouvernés. N’est-il pas temps pour céder à la volonté du peuple ? N’est-il pas temps pour mettre un terme à cette situation qui a dépassé les limites ? Je m’adresse au régime politique, au système même qui doit incarner l’expression de la volonté du peuple, qui doit protéger les individus non pas les tuer, qui tire sa légitimité du peuple, qui doit son existence au peuple.

Le peuple a découvert qu’il a fait un mauvais choix, le peuple a changé d’avis, le peuple vous remercie et vous demande votre démission. Le peuple décide vous ne devez que céder. C’est de la pure logique qui s’impose. L’agression, la force armée n’est le recours que du plus faible. Sachez bien que la violence est un signe de faiblesse. Vous êtes faible, impuissant… Votre fin se rapproche…

Quitter la version mobile