Quand les religieux viennent pour aider les politiciens afin de sauver la terre contre réchauffement climatiquePlusieurs messages émanent à chaque instant de l’Afrique du sud au se passe le sommet de climat pour trouver un compromis mondial permettant de peser la température terrestre de 2°C et atténuer ainsi les effets des changements climatiques.
A coté du fonds de financement vert que les pays du sud souhaitent son activation rapide, Najeh Dali présente que ces éléments figurent par les priorités sur l’avenir du protocole de Kyoto.
En plus des parties politiques classiques, des associations, des scientifiques, la conférence de Durban note, selon Najeh Dali, une présence remarquable des communautés religieuses et des parties religieux a attiré l’attention des participants. Par exemple l’Eglise anglicane insiste sur un vrai leadership moral des dirigeants.
Pour être fidele et neutre sur cette participation est laissé le lecteur évaluer lui-même l’intervention ce cette communauté religieuse Najeh Dali publie en intégralité sans aucun commentaire ni ajout le communiqué reçu.
LONDRES – Le chef de l’Eglise anglicane, l’archevêque de Cantorbery Rowan Williams, a appelé dimanche les dirigeants du monde entier à faire preuve d’un vrai leadership moral pour s’attaquer au changement climatique, lors de la conférence de Durban (Afrique du Sud).
Les personnes les plus vulnérables sur la planète ressentent de plus en plus au quotidien les conséquences du changement climatique, affirme Rowan Williams dans un message vidéo posté sur internet et adressé à la conférence sur le changement climatique qui débute lundi.
Et nous avons besoin plus que jamais d’un leadership moral de la part de nos gouvernements, de la communauté internationale, ajoute-t-il
L’archevêque a appelé les Etats riches à expliquer comment ils comptaient tenir leurs promesses faites l’an dernier d’aider, à hauteur de 100 milliards de dollars (75 milliards d’euros) par an à compter de 2020, les pays en voie de développement à s’adapter au changement climatique et à en combattre les effets.
Nous avons besoin de garanties sur les réductions des émissions (de gaz à effet de serre). Nous avons besoin de clarification sur les réponses à apporter sur des sujets comme les énergies propres, la sécurité alimentaire, l’eau potable et la biodiversité, a-t-il ajouté.
Dans cette vidéo où on le voit travailler avec des jeunes sur des programmes environnementaux, l’archevêque estime que ce serait une tragédie si les dirigeants ne parvenaient pas à répondre au défi du réchauffement de la planète.
Plus de 190 pays se retrouvent à partir de lundi et jusqu’au 9 décembre à Durban (est de l’Afrique du Sud) pour tenter de redonner un cap aux négociations sur les changements climatiques et un avenir au protocole de Kyoto, emblème en sursis
Et vous faites éveiller votre foi, et prier afin que dieu tout puissant nous aide à sauver la plante et oriente les 20 mille participants avec ces 130 ministres et plus de 12 chefs d’états et de gouvernements pour trouver un accord à Durban, Terre de Nelson Mandela