Pour la traduction de la Troïka et de R. Ghannouchi devant la justice internationale

Pour la traduction de la Troïka et de R. Ghannouchi devant la justice internationale pour complicité passive de crimes contre l’humanité.Le droit à la différence ne mérite pas un ukase de mort. Ni la liberté de culte et son corollaire la liberté de conscience. On ne peut qu’être troublé par le silence assourdissant des autorités tunisiennes de transition face aux dérives antijuives et tous les appels aux meurtres des juifs entendus en Tunisie ces derniers mois et qui deviennent de plus en plus fréquents. De même que les appels aux meurtres contre M. Béji Caïd Essebsi et tous les citoyens tunisiens affirmant leur citoyenneté en toute liberté en vertu de la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du Citoyen et en toute sécurité. Il y a tout lieu de croire que la Troïka et son cerveau R.Ghannouchi le terroriste jamais repenti portent une lourde responsabilité dans la dégradation inquiétante du climat humain tunisien depuis son coup d’Etat institutionnel. Il est difficile au vu des atteintes et menaces récurrentes contre l’intégrité physique des personnes sur la base supposée de leurs origines ethniques, politiques ou religieuses, que la Troïka et R. Ghannouchi n’attisent pas eux mêmes le feu de la haine d’une main ce qu’ils cherchent ensuite à l’éteindre d’une autre. En brandissant le spectre salafiste, ils jouent à faire peur aux Tunisiens pour se positionner comme le seul recours pour les immuniser contre la pandémie salafiste symptomatique de xénophobie, d’intolérance, de haine antjuive, d’extermination des opposants, de mise à mort des droits de l’homme et du citoyen, de discrimination et mutilation de la femme, de violation de la protection des droits de l’enfance, de la fin de la Tunisie tunisienne. Tenter de démêler les fils entre l’organisation fasciste d’Ennahdha et la milce salafiste reviendrait quelque part à nier l’idéologie salafiste d’Ennahdha elle-même. Ou comme si les Waffen SS n’étaient pas nazis.

En effet, il n’y a aucun doute quant à l’existence d’une collusion évidente entre la Troïka et son chef d’orchestre l’innommable R. Ghannouchi et la milice salafiste dont le but ultime est d’instaurer un climat de terreur et de plonger le pays dans un vide abyssal que seuls l’organisation fasciste d’Ennahdha et ses vernis du CPR, son faux nez, et d’Ettakotol pourraient combler. Ils sont dans leur rôle de pyromane. Ils exaltent, instiguent, fomentent les troubles, encouragent, manipulent, soufflent sur la braise, ils exacerbent les passsions en créant un éxutoire afin de faire de l’autre le bouc-émissaire, la cause de tous les maux du pays. Ils orchestrent et organisent cette mise en scène pogromesque, inconnue jusqu’alors sur le sol tunisien.

Dans ce contexte, fidèles à l’idéologie qoutbiste des Frères Musulmans, leur seul mode d’action politique s’articule autour de l’exaltation la haine de l’autre sur la base du simple fait de sa croyance religieuse ou de son appartenance ethnique pour motiver son extermination. Hitler avait fait de ce leitmotiv son seul cheval de bataille idéologique en toute impunité et avec la complicité passive de la France et de la Grande-Bretagne. Certes, la Troïka tunisienne et son gourou R. Ghannouchi n’ont pas les moyens du régime hitlérien en son temps, mais c’est son orientation idéologique et le totalitarisme nazi inhérent à à son action politique qui suscitent les inquiétudes les plus légitimes de la part des démocrates tunisiens. Quand bien même ces appels aux meurtres sont intentionnels et c’est parce qu’ils le sont qu’ils doivent exposer leurs auteurs à des poursuites pénales devant la justice tunisienne et à défaut devant la Cour Pénale Internationale.Toutes ces campagnes scélérates en disent long sur les vrais desseins ethnocides et culticides de la trilogie de la barbarie islamiste et sont révélateurs de son projet liquéfication de la Tunisie et sa dissolution dans le futur Califat wahhabite sous haute garde de l’Oncle Sam. Aujourd’hui, c’est le Juif et la femme, demain ce sera le laïc, le démocrate, le musulman quii n’adhère pas à leur sectarisme religieux comme ce fut le cas avec la tragédie de Toulouse-Montauban, les minorités sexuelles, les enfants. Le climat actuel est annonciateur des lendemains effrayants et angoissants pour la majorité des tunisiens attachée à ses valeurs humanistes et son particularisme identitaire. Comment peut-on exonérer la Troïka de toute responsabilité dans l’état de la dégradation et déliquescence du climat culturel, social, politique et humain de ces derniers mois ? Aors que jusqu’à preuve du contraire, c’est elle qui a accordé son imprimatur à ces meutes de prédicateurs philonazis pour exercer leur magistère judéophobe pour contaminer le pays du virus foudroyant de la wahhabisation des esprits. Tout indique que ces denieres ne sont en réalité que les porte-voix de la Troïka et sa milice macoute (Ennahdha et le nouveau terrorisme institutionnel en Tunisie).

Comme si ces autorités ne veulent pas désavouer ce qu’elles cautionnent elles-mêmes. Les propos nauséabonds et inqualifiables tenus par les prédicateurs wahhabites en toute impunité font surgir dans notre mémoire le souvenir lugubre les années noires de l’entre deux guerres guerre en Allemagne hitlérienne qui ont abouti à la Shoah. Est-ce à dire qu’on va vers une deuxième Shoah au vu des signes avant-coureurs qui ne laissent rien augurer de rassurant quant à l’avenir de notre humanité ? Cette haine du juif qu’on le veuille ou non nourrit l’inconscient de tous les musulmans et pas seulement. En aucun cas l’antisémitisme ou l’antijudaïsme est le propre des musulmans. Bien au contraire, les juifs ont rarement été sitigmatisés par exemple en Tunisie. L’absence de condamnation par l’opinion publique tunisienne signifie-t-elle approbation ? Evidemment que tous les tunisiens n’y adhèrent pas. Mais une minorité parmi eux dont surtout ceux qui ont voté par la secte philonazie d’Ennahdha sont les plus sensibles à l’idéologie de haine propagée par les agents locaux du sectarisme wahhabite lesquels comme tout mouvement fasciste surfe sur l’exacerbation de la détestation de l’autre. Par ailleurs qui pourrait aller à l’encontre des prescrits de l’islam ? Après tout le Coran à l’instar de la Bible n’a jamais enseigné le respect du juif dont la seule faute est de ne pas avoir donné un blanc- seing à Mohamed pour valider la nature biblique de son message. On ne jette pas l’opprobre sur un peuple parce qu’il a refusé un jour à apporter à tort ou à raison au prophète de l’islam sa caution brahmanique indispensable. Pourquoi tant d’aversion et de ressentiments pour un acte de défiance ou de non-reconnaissance ? S’ils ont refusé de faire allégeance cela ne mérite pas le sort que certains veulent infliger aujourd’hui à leur descendance qui a toujours été parfaitement toléré du monde musulman jusqu’à la Guerre des 6 jours. Je sais qu’en écrivant ces quelques mots qui sont les mots de la raison humaine et l’expression de ma condamnation de la montée de l’antijudaïsme en Tunisie comme partout ailleurs, je prends des risques. Autant les prendre plutôt que de cautionner par mon silence les agissements criminels des radicaux musulmans. Nous sommes tous des juifs et fiers de l’être c’est ce que doit être notre réponse ferme aux héritiers islamiques d’Adolf Hitler. Dans les années noires de l’entre- deux- guerres, si le monde s’était levé comme un seul homme pour défendre et protéger les Juifs cela nous aurait épargné la Shoah dont nous venons de vivre un nouvel aperçu à Toulouse. Pour les radicaux musulmans, tout ce qui n’est pas comme eux est un juif. Etre menacé de mort ou se faire tuer parce qu’on est pas dans le moule idéologique des islamistes, cela doit être assimilé à un crime contre l’humanité. Il faut une résolution internationale pour éradiquer le nazisme véhiculé par les radicaux musulmans. On a eu en 1949 le Tribunal Russel mais a posteriori, il faut plus que jamais un nouveau Tribunal Russel mais a priori. Sinon c’est le Grand Effroi prophétisé par le Coran auquel ils y croient religieusement.

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