L’éternel paradoxe tunisien: Richesses minières, pauvreté d’un peuple. Où va t-on?

Alors que notre pays regorge de richesses minières que certains responsables politiques veulent passer sous silence pour en départager les dividendes avec les acteurs de l’internationale du crime, le peuple croule sous le poids de la pauvreté. »

La solution à cette pauvreté est entre nos mains. Elle ne dépend que de notre capacité à placer au pouvoir des hommes et des femmes patriotes, aptes à respecter et à faire respecter la légalité nationale et internationale, et à opérer à une distribution équitable des dividendes de la richesse nationale, afin d’endiguer la pauvreté et assurer une prospérité socio économique offrant à tout tunisien une vie digne.

Tout tunisien favorisant l’accès au pouvoir d’acteurs niant l’existence des richesses minières tunisiennes et frappant aux portes des institutions financières internationales pour aggraver la situation de notre balance de paiement, est directement et indirectement complice du maintien de millions de tunisiens au dessous du seuil de la pauvreté tel défini par l’ONU. Au lendemain de la fuite de zaba, les chiffres nous indiquaient que 25% des tunisiens vivaient dans des conditions similaires à celles illustrées par l’image ci-dessous.

Depuis, pour des raisons ne pouvant échapper au tunisien bien informé de l’évolution de la situation économique du pays et de la dégradation du pouvoir d’achat, ce taux est à la hausse. Seule la maturité du tunisien est en mesure de renverser la vapeur. Comment? En prenant soin de faire le bon choix de ses futurs dirigeants, et ceci en dépassant le coup de cœur, tout en puisant dans sa matière grise pour savoir distinguer entre un acteur apte à préserver la souveraineté de la nation et un acteur prêt à vendre peuple et patrie, pour s’asseoir sur le siège en vu de monopoliser des privilèges et vendre le pays à l’internationale du crime, au mépris du peuple et de la souveraineté de la patrie.

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