Les dessous, la face cachée, chercher les vrais coupables, on ne fait que spéculer et épiloguer sur la théorie du complot depuis 11 ans sur les attentats du Twin Towers.Et pourtant les milliers des victimes sont le vrai visage de ces attentats et la preuve irréfutable que des milliers de vies humaines furent briseées pour étancher la soif de sang humain d’un escadron de la mort portant la couleur de l’Islam. Elles, elles sont bel et bien mortes et sacrifiées sur l’autel de l’ogre islamiste. Nous avons tous à leurs égards un devoir de mémoire et spéculer sur l’identité des vrais commanditaires et bénéficiaires de cette boucherie qui avait frappé toute la communauté internationale sans distinction de religion et de nationalité revient à infliger une nouvelle mort aux victimes et réveiller la douleur de leurs familles.
Qu’il y ait des zones d’ombres entourant cette tragédie qui portait le sceau de la terreur islamiste cela va de soi, mais pérorer là-dessus alors que ces morts sont là pour témoigner que le ventre de la bête islamiste est aussi immonde fécond que la bête nazie est un déni de vérité et une profanation de la mémoire de tous innocents qui avaient le malheur d’avoir croisé sur leur chemin de la vie des fanatiques avides de chair humaine. Nul ne doit nier que jusqu’à preuve du contraire que les auteurs des attentats macabres du 11 septembre 2001 professaient tous la religion musulmane. De même qu’à ce jour aucune voix ne s’était levé dans le monde musulman pour condamner explicitement et sans ambages ni détour cet acte ignominieux qui jeté une tâche indélébile sur l’Islam lui-même qui du statut de religion se trouve depuis cette date assimilée à une idéologie ultra-violente, sanguinaire et totalitaire. Il est regrettable et navrant qu’aucun rassemblement ne soit tenu en hommage aux victimes, ni aucune prière ne soit organisée dans les mosquées pour commémorer la mémoire des victimes. Le sang qui avait coulé ce jour-là était tout simplement humain.
Les terroristes n’avaient pas fait de différence au moment de leur passage à l’acte. Les musulmans qui étaient eux aussi endeuillés en ce jour funeste se doivent d’associer aujourd’hui dans leurs prières toutes les victimes de ces attentats que certains de leurs coreligionnaires avaient perpétrés quoi qu’il en soit au nom de la religion musulmane et à la gloire d’Allah. La dernière parole prononcée par ces monstres n’était-elle pas justement: Allah Akhbar et non pas louange à Dieu ou Haré Khrisna ? Il est évident que les musulmans qui sont souvent les premières victimes de la violence terroriste n’ont pas à endosser une quelconque responsabilité dans lesdits attentats, mais il n’en demeure moins que leur silence trouble n’est guère rassurant quant à leur volonté d’éradiquer la peste terroriste qui prospère en leur sein. C’est leur absence de réaction virulente et de forte mobilisation contre le fléau terroriste qui laisse à penser qu’ils s’y accommodent parfaitement., validant ainsi le postulat qui ne dit mot consent. Enfin que les djihadistes islamistes aient été manipulés et des simples pantins entre les mains des forces occultes, il s’agit-là d’une circonstance aggravante qui dénote d’une part qu’ils sont des sujets influençables et dénués de volonté propre et d’autre part leur doctrine religieuse dont ils se veulent les vaillants combattants n’enseigne ni le respect de la vie humaine ni le sens de l’honneur. Les terroristes islamistes sont sans foi ni loi, ce n’est pas par hasard qu’ils sont des potiches et des nervis pour leurs vrais maîtres. La vraie reconciliation des musulmans avec la communauté internationale aura du sens le jour où chaque pays musulman érigera sur son sol un Mémorial en hommage aux victimes du radicalisme musulman. Mais cela relève encore de l’utopie.