Les Musulmans face à la modernité: Ils sont condamnés à l’obscurantisme et l’intégrisme tant qu’ils continuent à tourner le dos !

Les populations islamisées ne sauraient s’inscrire dans la modernité tant qu’elles ne cessent de se voiler la face et accepter de se regarder dans le miroir de la vérité.Celle qui la renvoie à sa vraie âme, celles qui était la sienne avant qu’elles ne deviennent musulmanes et qu’elles se font fort de dénier de peur de perdre sa virginité musulmane. A vouloir tout occulter, elles ont fini par se couper de leurs propres racines et se dépersonnaliser faisant de la religion des arabes le cœur-même de leur identité. Au point que la religion se confond avec race. Comme si religion rimait avec race. Rarement des populations se sont fondues dans leur foi comme les populations musulmanes. Emportées dans un tourbillon enfiévré qui la happe et la compriment mentalement qu’elles y voient comme un signe de la Miséricorde Divine, éprouvant ainsi une sorte de jouissance transcendantale. Au lieu de chercher à inverser le cours de son destin humain et se libérer des chaînes qui l’enserrent, pour pouvoir desserrer l’étreinte de la religion, elles se chargent elles-mêmes à les resserrer davantage afin que sa prison finisse par rassembler à un véritable bunker sans la moindre porosité dans ses parois susceptibles de faire passer le moindre trait de lumière. Un monde obscur et ténébreux, nourri par les croyances fantasmagoriques d’un monde meilleur dans l’au-delà avec des effets hallucinogènes et soporifiques les rendant inertes, apathiques et parfois hyper-réactifs dès qu’ils sentent ou s’illusionnent que leur religion serait l’objet de caricature ou moquée. Elles donnent l’impression d’être complètement lobotomisées comme un toxicomane qui malgré les effets néfastes de la drogue sur sa santé sur-réagit avec une agressivité déconcertante dès que l’on veut lui faire prendre conscience des dangers des conduites additives.

Lequel de peur d’affronter la vie réelle, il s’enferme dans sa prison mentale la même dans laquelle sont embastillées les populations musulmanes. Aussi, certains symptômes de troubles psychotiques propres aux sujets addicts à toutes sortes de substances hallucinogènes sont courants chez les populations musulmanes:

-Apparition d’anxiété, d’agitations.

– Un phénomène de léthargie.

– Des troubles comportementaux (agressivité, troubles de l’adaptation) Des épisodes psychotiques avec hallucinations et paranoïa.

– Une dépression du système immunitaire et de l’asthme

En toute évidence, avec des telles pathologies mentales annihilant toute volonté de reconstruction de la personnalité et de sa propre identité, seule la religion devient la voie du salut dotée d’un statut de libérateur du mal qui ronge intérieurement les populations musulmanes. Une thérapie où l’on traite les effets du mal par la cause du mal lui-même.

Pour ces populations, aux facultés de discernement fortement atténuées, elles se laissent facilement berner, manipuler par les marchands de la religion qui leur vendent l’illusion du paradis en compensation à l’enfer sur terre qu’elles se doivent d’assumer pleinement si elles ne veulent pas se priver de la martingale paradisiaque, car il serait en réalité une manifestation de la justice divine. Il leur est difficile dans ces conditions de briser les chaînes de leur prison mentale prétendument d’essence divine que les charlatans qui pullulent dans les sociétés musulmanes devenus par la même les maîtres de la vie politique, quelle hérésie!, se font fort de les rigidifier et les consolider sous couvert de la religion. Là où prospère la misère humaine, prolifèrent les sectes charismatiques et dévotes, dont certaines comme en Egypte et en Tunisie président aujourd’hui à la destinée politique de ces pays. Par peur pathologique de se projeter dans l’avenir synonyme de rupture avec le passé, elles préfèrent s’enfermer dans un univers irréel nourri de fantasmes élucubratoires que les sectes locales leur distillent à longueur de journée aux moyens des chaînes satellitaires et pendant les pêches aux mosquées. Mythifiant et glorifiant un passé pourtant infertile en matière de libertés humaines, d’acquis sociaux, de progrès humains, de développement économique, de performances techniques et scientifiques, des droits fondamentaux, un passé plutôt associé à la barbarie humaine notamment en ce qui concerne les droits humains, ceux de la femme et la protection des droits de l’enfant. Au lieu, d’assister à une véritable rupture structurelle et systémique, les populations musulmanes empruntent résolument une voie à contre-sens de l’histoire universelle. Comme si elles se complaisent dans leurs conditions de vie insoutenables, dégradantes et indignes de la condition humaine, dans leur sous-développement pathologique, dans leur état permanent d’incurie intellectuelle et dans leur mal-être profond. Incapables de réfléchir et penser par elles-mêmes, de se regarder dans le miroir de la vérité, celui de la faillite de leur système de croyance qui veut gouverner leur vie dans le moindre petit détail. Castrateur, totalitaire et bolchévique. Il n’en demeure pas moins qu’elles sont convaincues religieusement y trouver la panacée à leurs maux devenus incurables et inextinguibles. Transformant leur rancœur légitime dont elles auraient dû faire preuve face aux injustices dont elles sont victimes en rancœur contre les autres. Ceux qui incarnent le progrès humain et la modernité telle que l’occident judéo-chrétien. Vénérant et exaltant un passé légendaire où le mysticisme se confond avec l’hallucination, tels ces patients souffrant de graves troubles psychotiques qui se laissent aller à des délires fabulatoires sur un passé inventé en toutes pièces pour s’auto-persuader que son passé a véritablement existé et que son auditoire se doit de l’accepter sous peine de subir sa violence. Il y a à cela un hiatus de taille est que ces populations islamisées ne sont pas arabes et qu’elles se trouvent dépouillées de ce qui aurait du constituer leurs spécificités culturelles, humaines, ethniques et historiques. Contrairement au Christianisme où les populations converties ont préservé leurs langues, leurs cultures, leurs histoires et leurs personnalités, l’Islam ou plutôt les arabes ont imposé aux peuples soumis non seulement une langue et une religion mais une histoire exogène lui donnant un statut intrinsèquement supérieur à celui des langues et cultures ancestrales des populations islamisées de par soi-disant sa pureté originelle leur faisant croire que la langue serait la langue du paradis. Un ostracisme indécent à l’égard des autres langues.

Selon les fondamentalistes musulmans, elle serait la langue d’Adam et Eve alors qu’elle est la plus récente des langues sémitiques. L’islamisation a fait table rase du passé de ces populations le rendant illicite, niant l’existence de toute histoire antérieure à la sienne. Ainsi seul l’islam se trouve être géniteur d’histoire et toute référence et évocation de l’histoire propre à ces populations avant le 7ème siècle est jugée comme un sacrilège. Une espèce d’American way of life, ou plutôt un Arabic way of life devenu le nec plus ultra pour ces populations démunies et frustes. Pour elles, se revendiquer de l’arabité est un gage absolu d’affirmation de sa promiscuité avec la religion. Se coupant de ses propres racines immémoriales et riches en civilisation pour s’évertuer à se dissoudre dans un système de référence impérialiste et génocidaire en termes de culture. Cette forme de génocide culturel qui n’est pas étrangère au profond malaise humain de ces populations freinées dans leur désir de se remettre en ordre de marche dans le sens de l’histoire. Des populations dissolvant leur particularisme ethnique et leur identité historique au nom de la suprématie de l’arabo-islamisme auront difficilement du mal à réaliser leur véritable mutation culturelle qui passe nécessairement par une reconnaissance leur identité propre qu’elles regardent souvent avec aversion. Comme si elles avaient honte d’elles-mêmes. Un mépris de la conscience de soi à l’origine de l’état de schizophrénie qui les caractérise et rend quasiment impossible toute perspective de désaliénation mentale de ces populations. Elles sont les seules populations au monde à s’identifier par leur religion ou leur arabité voire les deux en même temps alors que ni la religion ni l’origine ethnique ne sont vecteurs de nationalités ni constituer un véritable dénominateur commun aux hommes. Avec une vision du monde aussi archaïque, réactionnaire et régressive, on ne peut fonder le futur des hommes sur des valeurs incompatibles avec l’universalisme, la démocratie et l’égalitarisme entre les hommes indépendamment de leurs origines ethniques, leurs croyances et leur sexe. Comment ces populations peuvent-elles œuvrer dans le champ de l’histoire humaine, celles d’une vie meilleure pour les générations futures quand elles-mêmes ont leurs esprits enfumés et obscurcis par les vapeurs empestant le soufre que leurs gourous illuminés diffusent à force de prosélytisme activiste et agressif ? Quand la religion devient leur exutoire absolu pour atténuer les affres de la misère ? A titre d’exemple, la majorité des pays musulmans, à quelques exceptions près, ferment la marche des pays les plus corrompus et du bien-être humain ? Malgré tout cela, elles se vantent de la suprématie de leur foi sur les autres religions et des avancées démographiques de leur religion. Qu’est-ce que cela veut dire ? Si ce n’est pas pour flatter un ego frustré et asservi ? Jamais elles n’ont mesuré l’indice de performance scientifique, couronnée par un Prix Nobel par exemple et leur poids démographique. Ce ratio est tout simplement nul à comparer des peuples qui brillent par leurs talents malgré leur faible poids démographique. Ils n’ont toujours pas compris qu’il vaut mieux être David que Goliath. On préfère se livrer à des exercices mystificateurs et affabulateurs plutôt que de s’insurger contre son existence amère et chercher les conditions pour l’améliorer. Comme si le fait d’être plus arabisés que les arabes eux-mêmes va remplir la vacuité de leurs vies. Les Arabes eux-mêmes en adhérant à l’Islam se sont aussi amputés de leur histoire pré-islamique la dénigrant et l’assimilant à l’obscurantisme alors que c’était l’histoire politique des libertés de la femme, personne ne peut le nier. L’exemple de Khadija, la première épouse du Prophète, son aînée de 18 ans et surtout qu’elle en était l’employeur et par conséquent sa donneuse d’ordres. Connue pour tenir le salon le plus fréquenté de sa région et la femme la plus riche d’Arabie en est la preuve irréfutable, de la geste arabe, de l’art poétique au plus haut niveau. Renouer avec son identité propre, s’auto-psychanalyser pour se reconstruire avec l’objectif de renouer avec sa propre histoire anté-islamique afin de s’affirmer par soi et non à travers l’identité hallucinatoire d’autrui. La France, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne ou l’Angleterre ont assimilé le Christianisme mais le Christianisme n’a pas induit des effets dilutifs sur leur identité respective. La France ne s’était pas fondue dans le moule de la chrétienté, elle continue encore aujourd’hui d’être irriguée par son âme gauloise malgré la diversité de sa population. L’Italie est restée romaine. L’Allemagne germanique, l’Angleterre anglo-saxonne. Le christianisme n’a pas engendré le(s) peuple(s) de France, la France l’a embarrassé, l’a adapté à sa personnalité sans perdre pour autant ni son âme ni son histoire. Or, c’est l’inverse chez les populations islamisées. Tout avait été effacé de leur mémoire historique antérieure à leur islamisation. Ainsi un égyptien héritier de la plus immense civilisation humaine a perdu son âme égyptienne pour devenir seulement musulman. On ne peut pas avoir été égyptien descendant des Pharaons et effacer ça d’un seul trait de plume son âme pharaonique, ni carthaginois et s’interdire de l’affirmer de peur de commettre une hérésie. Alors que la pire des hérésies et de renier sa propre histoire et de se fondre dans une autre qui n’a jamais été la sienne parce qu’avant d’être assujetti à cette nouvelle histoire coloniale et impérialiste, il était un homme libre. Amazigh!

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