La nahdhaouisation de la Tunisie future principauté wahhabite sous le nom d’Ennahdhastan

L’organisation fasciste, au lourd passé terroriste d’Ennahdha ne cesse de multiplier les actes antipatriotiques et d’allégeance à ses mentors wahhabites en exhibant et affichant sournoisement et pernicieusement ses couleurs bleu-blanc faisant fi des couleurs nationales blanc-rouge. Il faut faire cesser de tels actes absolument intolérables, inadmissibles et attentatoires à l’honneur national. Le sag tunisien a coulé pour défendre les couleurs nationales et Ennahdha n’en a cure de tout cela. Elle est en train de remplacer progressivement le drapeau national bicentenaire, symbole du patriotisme tunisien et de la pluralité de son histoire, par son fanion sectaire synonyme de division et de trahison qui trône ostentatoirement sur les bureaux des ministres nahdhaouis. Comme si ces ministères sont des officines nahdhaouies et ces potiches sont payés par leur instance sectaire. Après le parti-Etat de Ben Ali vient l’ère de la secte-Etat. Tout se passe comme si la Tunisie est devenue la propriété d’Ennahdha et de son gourou le terroriste jamais repenti le petit Führer, morched, R. Ghannouchi. Un renégat sans foi ni loi. Elle est où cette dignité nationale quand personne ne réagit face à de telles dérives et manquements aux régles de séparation entre l’Etat et les partis. Tout laisse indiquer qu’ils sont le prélude d’un avenir des plus sombres pour la patrie tunisienne et l’annexion de la Tunisie par le Qatar dont nous avons eu un aparçu lors de la tenue de la Conférence de la honte des pseudos amis de la Syrie et l’immextion d’Al Qaradhaoui dans le projet de la future constitution ? A se demander si ce godillot de Ministre des Affaires Etrangères n’est pas tout simplement un préposé spécial de la Poste tunisienne estampillée Ennahdha ayant pour mission de faire le facteur entre Doha et Tunis. En attendant, c’est le pauvre contribuable tunisien saigné à mort par Ben Ali qui lui paye ses allers-retours incessants pour la formalisation du projet de la future constitution. En réalité un nouveau traité de Bardo en pire, en vue de la mise en place du processus de wahhabisation de la Tunisie par la voie démocratique.

Où est-ce qu’elle est passée cette Tunisie soi-disant outrée, meurtrie et indignée dans le passé qui ne s’émeut guère ni ne réagit quand des ministres empestant les égoûts de la félonie islamiste font trôner sur leurs bureaux les symboles du crime organisé et de la terreur institutionnalisée ? Des bureaux qui se transformeront un jour en autels pour leurs offrandes en chair et en os humains à leur Dieu wahhabite ? Lors de la visite du la créature du Mossad le Gourou du Hamas Hniya flottait sur l’Aéroport international de Tunis-Carthage les couleurs du nouvel Emirat islamique de la Tunisie. On est pas dans le folklore, on est dans la réalité symptomatique de la mise à mort inexorable de la Tunisie tunisienne. Tout ce qu’ils font et disent n’a rien d’anodin. Jamais ils ne se convertiront aux valeurs de la République qui sont incompatibles avec leur idéologie islamonazie. Banaliser un islamiste, c’est comme si l’on cherche aujourd’hui à réhabiliter le nazisme. Ils sont dans un rôle de composition pour lequel ils adoptent une posture lisse comme ce prédicateur bling-bling de Tariq Ramadhan pour masquer leur nature de carnassier-prédateur ( Du pitbull nazi au pitbull islamiste ). Quand les salafistes, les escadrons de la mort d’Ennahdha s’en prennent au drapeau national et y mettent le feu cela n’est rien d’autre qu’un message que la secte de la terreur mafieuse adresse au peuple tunisien quant au sort qu’elle réserve elle-même à ce drapeau. Un islamiste est obsédé par ses hallucinations cosmiques et messianiques, il ne peut se résoudre à l’acceptation des symboles nationaux tels que les drapeaux et les hymnes qui constituent pour lui un obstacle à l’instauration du grand Califat expresion du pouvoir de Dieu et véritable gouvernement musulman de tous les hommes.

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