On reconnaît les peuples immatures endoctrinés et abrutis par le sectarisme wahhabite à leur déni psychotique et leur perversion narcissique.Leur état de cécité mentale est tel qu’il refuse de concevoir, d’admettre, de conscientiser que leur Tour de Babel est juste un mythe, symptomatique de leur état de pathologie psychique et l’expression de leur folie de grandeur. Jamais vous les entendrez dire: nous assumons notre responsabilité dans le traitement inhumain et dégradant infligé à nos femmes. Leurs réponses sont toujours: ailleurs ce n’est pas mieux. Par cet ailleurs ils entendent l’Occident tant honni par eux et objet de tous leurs ressentiments pathogènes et leurs fantasmes.
Il est ce miroir qui leur renvoie cette image d’eux qu’ils refusent de reconnaître. Ils ont du mal à voir la grosse poutre qu’ils ont à l’oeil. Or dans cet ailleurs, il y a des lois répressives et protectrices des citoyens de toutes les origines, indépendamment de leurs croyances et sans distinction de sexe ou de classe socialei. En occident, ne règnent pas les lois arbitraires et abscon contrairement aux sociétés islamique. Il existe des lois dissuasives dont la finalité est de prévenir et réprimer les actes de violence morale et physique dont les femmes pourraient être victimes. Dans les socétés islamisées, une femme violée est coupable de son viol, elle est stigmatisée et couverte d’infamie. Avec la loi de la jungle de la charia chère aux islamistes c’est le blanc seing pour violenter, exciser, brimer, ostraciser, discriminer et lapider. Si j’étais femme je préférerais et de loin cet ailleurs avec toutes les représentations négatives que les populations soumises aux lois de Dieu véhiculent sur lui, plutôt que de vivre dans l’ombre des Ben Laden, des Ghannouchi, des Bel Haj, des jihadistes ou tout simplement d’un mari, d’un frère. Une femme occidentale n’est pas lésée dans ses droits à l’héritage, ni comme ce fut le cas en Tunisie avec les victimes de sa Révolution où la femme était évaluée pour la moitié d’un homme en terme de réparation du préjudice subi. Une justice inique qui réduit la femme à une portion congrue est étrangère au droit positif occidental. C’est une insulte à la dignité humaine de comparer les femmes et les fillettes pérépubères livrées aux pulsions sexuelles des hommes sous couvert de la charia avec interdiction religieuse de se révolte. Dans cet ailleurs où les femmes peuvent vivre leur dignité humaine en toute liberté. Le poids de la religion est le vrai ennemi de la femme.
La démocratie inhérente à cet ailleurs que certains détestent déculpabilisent la femme et la protègent alors que cette merveilleuse religion ne donne à la femme aucun moyen pour préserver sa dignité humaine. Les lois des hommes valorisent la femme et l’anoblissent, les lois divines l’asservissent et l’assujettissent à l’homme. Plutôt femme en Occident que princesse en Orient. Une femme est par défintion celle qui vit sa féminité en toute liberté et non celle qui la bride de peur de subir le double châtiment masculin et et divin.C’est anthropologique et juridique.