Et si Hamadi Jébali n’était pas le vrai visage de la contre-révolution islamiste ?

Comment un homme aussi terne qu’insignifiant, aussi inculte qu’incompétent, au CV vide inversement proportionnel à son casier judiciaire, impliqué dans des affaires terroristes et criminelles, un quasi-analphabète, tel ce premier Sinistre tunisien Hamadi Jébali plombier-vitrioleur-poseur de bombes peut-il connaître une ascension aussi fulgurante qu’intrigante ? On sait qu’au pays de Jha, seuls les incrédules ne croient pas au miracle.Mais sa promotion himalayenne est foudroyante comme les foudres islamistes qui sont entrain d’ensevelir la Tunisie. Elle doit être inscrite en lettre grise et noire dans le Grand Bêtisier Planétaire depuis Toumaï. Comme si on avait attribué un Prix Field en Mathématiques à son Sinistre de l’Enseignement supérieur Moncef Ben Salem, juge et partie et rétro activiste notoire dont la tentative d’escroquerie au préjudice du contribuable tunisien appauvri et saigné comme un poulet par Ennahdha mérite un prix Madoff de l’entourloupe. Les tunisiens qui auraient fait une révolution paraît-il contre la plaie endémique du népotisme entre autres, mais avec le cas d’école du terroriste recyclé premier sinistre, ils se trouvent pris au piège de leur propre contradiction.

En effet, le cas Jebali est le vrai visage de la prétendue révolution tunisienne. La révolution, qui veut dire rupture avec les moeurs et les dérives d’un autre temps, ne peut s’appliquer à la Tunisie, puisqu’au lieu d’éradiquer les plaies et les maux dont souffre le pays, elle s’avère être in fine un culte religieux aux abus de pouvoir, le clientélisme, au familiarisme (béni 3amisme),à la corruption, aux promotions canapés, à l’injustice, une prime à l’incompétence, au favoritisme et à la déficience intellectuelle. Pire encore, elle n’est pas l’oeuvre du peuple tunisien comme peut en faire foi cette accolade troublante entre Jebali et Mc Cain le 24 février 2012 à Tunis lors de la tenue de la Conférence des ennemis des godillots islamistes de la nouvelle Realpolitik US. Cette image qui a fait couler beaucoup d’encre a fait gausser les internautes tunisiens. Comment peut-on s’empêcher de la railler et surtout de s’interroger sur les liens occultes qui lient ce sioniste invétéré aux islamistes tunisiens qui de statut de terroristes, ils sont passés au statut d’hommes de pouvoir ? Au-delà de son message politique, celui de la reconnaissance éternelle d’un potiche à son maître, cette image dont le caractère pornographique ne fait pas de doute mérite de figurer dans les annales bibliques de Sodome et Gomorrhe. Ce jour-là le godillot Hamadi Jebali a fait la démonstration de son vrai penchant servile, celui d’un esclave sexuel prêt à satisfaire tous les caprices de son dompteur. Arrogant et impudique, il a osé serrer dans ses bras de gorille son seigneur et maître comme d’autre enserrent dans les leurs bienfaiteur, tout en adressant le sourire du dragon aux tunisiens ce jour-là. Ainsi, a-t-il levé tous les voiles sur les dessous de cette révolution guignolesque, en montrant ses vrais dessous personnels. Ceux d’une nature immature, tourmentée, déviante, perverse et trouble.

Son accolade insultante à la conscience tunisienne qui a bouleversé toutes les règles de bienséance diplomatique et qui n’est pas un modèle de virilité, aussi indécente que son port d’une écharpe aux couleurs qatariennes, témoigne de son inféodation et de sa reconnaissance au nouvel ordre impérial US et le lobby sioniste. N’est-ce pas que c’est grâce au printemps de la nouvelle Realpplitik américaine qu’il a pu acquérir le statut de Mme de Pompadour. Lui qui avait toujours vécu dans l’ombre, il se trouve propulsé premier sous-fifre en Tunisie. Atteint comme tous ses semblables du virus de flagrant délire de mensonge sur les diplômes. Il s’est affublé en effet, d’un titre d’ingénieur alors que le seuls traits qui sont symptomatiques de sa déficience mentale et intellectuelle dont il a su faire remarquablement preuve, est son gazouillement et balbutiement dans la langue de Molière, voire dans sa propre langue maternelle. Zézayant et bégayant, incapable d’aligner trois mots de suite dont il ne comprend pas parfois lui-même le sens, comme le mot croissance dont il abreuve le public tunisien. Limité pathologiquement et cruellement dans son expression orale proche de celle d’un enfant de moins de 5 ans. Il doit souffrir fort probablement de dyslexie et de graves troubles de personnalité, incurables au vu de son âge.

Son ascension brutale, inexpliquée, injustifiée et exponentielle n’est plus un mystère qui la voie inverse de courbe de la descente aux enfers de la Tunisie. Comment un homme dépourvu de toute formation, sans références, sans charisme et sans expérience professionnelle avéré peut-il devenir miraculeusement chef de l’exécutif tunisien ? Il le doit essentiellement à ses capacités d’exécuter les plans de ses donneurs d’ordres. On l’aurait imaginé videur dans une discothèque et grâce à la bienveillance de ses maîtres, il est promu préposé sans pouvoir des affaires wahhabites en Tunisie sous bonne garde de ses maîtres-esclavagistes américaines et le digne représentant du lobby sioniste Mc Cain.

Hamadi Jebali est l’archétype du parfait islamiste qui n’a rien à envier à son mentor Raspoutine Ghannouchi. Contrairement à Kamel Jendoubi l’ opportuniste invétéré, il n’a pas bidouillé son CV. Il s’est inventé un faux diplôme en tant qu’islamiste ne peut exister que dans la fabulation, la terreur, la fourberie, la trahison, la mégalomanie. Il est le roi de l’esbroufe et l’imposture. Il ment sur tout et en tout. Ses organes vitaux sont un tissu de mensonge. Tricheur, hâbleur, il brasse du vent et sème la tempête. Il ne la récolte pas, il la sème comme ces cendres de nos morts que le vent disperse et qu’il cherche à effacer de l’histoire mémorielle de la Tunisie.

Voilà pourquoi, le premier terroriste de service en Tunisie et bras droit de cet ignoble personnage Raspoutine Ghannouchi délire sur les diplômes comme le traîne savate de Bouchlaka, l’homme qui se fait payer ses aventures extra conjugales par le sans-culotte tunisien, et Mahrzia Labidi dont sa maîtrise de la langue française est plus proche de niveau d’une école maternelle. Le référentiel français des diplômes ne fait mention d’aucun diplôme d’ingénieur dans la spécialité des sciences et techniques en énergies éoliennes tout au moins dans les années 70, période de son séjour en Hexagone qu’il a passée dans la Résidence Universitaire d’Antony dans les Hauts de Seine, fourmilière de l’islamisme en cours de gestation en France où il avait vécu en vase clos obsédé par ses délires cosmiques, mystiques et messianiques. Délirant sur la renaissance islamique et le rétablissement du Califat. Plutôt que de squatter la R.U, il aurait dû être interné en hôpital psychiatrique comme le bouffon du Palais de Carthage au vu de son état de troubles obsessionnels compulsifs et de son sourire béat qui lui fend le visage traduisant la fêlure de son âme et son incurie intellectuelle. Le seul diplôme que la France aurait pu lui décerner est celui de la clandestinité et de l’assistanat.

En ce qui concerne ce type de formation dont il se gratifie sans en apporter la preuve il est sanctionné par un diplôme de bac +2 en énergies renouvelables et non pas d’un diplôme d’ingénieur. Dans les années 70, il est à douter que ce type de cursus existait. Dans un C.V. il est de règle d’indiquer avec précision l’année, le nom de l’université et le lieu d’obtention de son ou ses diplôme(s). Or, le CV de cet escogriffe est vaseux et qui est plutôt une synthèse autobiographique de son parcours de militant islamiste tendance soldat de l’ombre. 3 ans de boulot sur 44 ans de vie active, cela est révélateur du côté assistanat chez les islamistes. La vertu travail est incompatible avec leur idéologie. On dit dans l’Islam que Dieu n’aime pas les assistés et les fainéants. Que quelqu’un me dise en quoi ces perfides enfantés par la perfide Albion en 1744 sont musulmans ? Autre bizarrerie, ce repris de justice, les attentats de Sousse et Monastir, emprisonné pendant 16 ans pour faits et actes de terrorisme causant la mort d’un ressortissant allemand, , baragouine tel un macaque dans la langue de Molière alors qu’il aurait vécu et étudié pendant 9 ans en France.

Autre zone d’ombre, il ne dit pas s’il a son baccalauréat. Il est censé l’avoir obtenu soit en 1967 et au plus tard en 1968. Qu’a t-il fait de 18 à 20 ans avant son son exil en France. De quoi a-t-il vécu pendant tout son séjour en France ? Dans les années 70 justement, la majorité des étudiants étrangers conciliaient études et travail même quand ils étaient boursiers. Ils avaient le droit à un permis provisoire de travail de 20 heures hebdomadaire. Il semblait plutôt concilier activités occultes de caractère terroriste et clandestinité. Grâce au sioniste notoire Mc Cain, le voilà aujourd’hui propulsé figure sinistre et insipide de la descente aux enfers de la barbarie wahhabite de la Tunisie. Encore une intrigue islamiste.

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