Ennahdha se sert du sacré pour se dédouaner de ses propres actes d’apostasie

rached ghannouchi ennahdha tunisie

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Il ne passe plus un jour sans que la secte de mercenaires-miliciens wahhabites et son Moon, le terroriste notoire R. Ghannouchi qui se comporte en souverain absolu du nouvel Émirat émergent de la Tunisie ne bafouent, défigurent et transgressent les dogmes de l’Islam et le Message du Prophète.Manœuvrant comme des véritables manipulateurs, usurpateurs, mystificateurs et escrocs de la foi musulmane, ils font croire aux tunisiens qu’Ennahdha n’est pas seulement le parti de l’Islam, ce qui est une hérésie en soi, mais qu’elle est devenue l’Islam lui-même au point que des pauvres crédules politicards sont tombés dans le piège sous prétexte qu’en attaquant Ennahdha ils ont peur d’attaquer l’Islam.

Rusés et fourbes R. Ghannouchi et ses sectateurs cherchent à mettre en place des garde-fous pour empêcher toute tentative de dénonciation de leurs dérives sectaires et scélérates en voulant se doter de lois sacralisant leur comportement à l’antipode des prescrits de l’Islam. Les atteintes aux valeurs du sacré chez eux sont en réalité un subterfuge, un trompe-l’œil, de l’esbroufe et une grosse ficelle pour brouiller les pistes et habiller leurs graves offenses à l’Islam des attributs du sacré. Dans l’idéologie islamiste, il n’y a ni Allah ni son prophète au nom de la raison d’Etat, c’est-à-dire la morale devient immorale et l’immorale devient morale. Tuer, massacrer, violer, mentir, commettre un sacrilège, trahir, renier sa parole, pactiser avec le diable ne sont pas interdits tant que tous les actes accomplis sont frappés du sceau du sacré. A titre d’exemple, le viol n’est pas considéré comme tel si son auteur fait sa profession de foi et déclare la victime comme son épouse légitime. Il lui suffit juste après qu’il ait commis son forfait de la répudier en prenant à témoin dieu et son prophète.

Sa rouerie est d’une simplicité diabolique, elle consiste d’invoquer dieu et son prophète à chaque crime perpétré, il se trouve ainsi lavé de tout péché. Se considérant en état de guerre permanente, le djihad, les islamistes ne s’embarrassent pas du respect de l’ordre moral et des codes juridiques, seule la fin justifie les moyens. En effet, ils partent du principe que tout ce qu’ils entreprennent sur terre est pour la gloire d’Allah et de la propagation de son message. Rien ne doit les arrêter sur leur chemin d’instauration de son pouvoir sur terre si ce n’est Allah lui-même. Aucune loi n’est au-dessus de la sienne et de fait leurs agissements barbares et immoraux ne sont qu’une péripétie anodine dans leur œuvre messianique.

Convaincus qu’Allah saura les absoudre de leurs méfaits qui sont un passage obligé, une nécessité absolue dans le cadre de la réalisation de ses desseins hégémoniques pour la planète terre. N’est-il pas écrit dans le Coran que la terre entière sera un jour le Royaume d’Allah ? Et ce n’est certainement pas lui qui va les condamner pour leur outrecuidance. Forts de leur impunité, ils ne reculent devant rien. Profaner l’Islam devient anodin et superflu tant que l’action vise à promouvoir par tout moyen le Message coranique. En se proclamant djihadistes, ils s’auto- absolvent à bon compte leurs propres dévoiement des dogmes de la foi musulmane. Vicieux et retors, ils emploient des procédés de saupoudrage pernicieux et pervers dont le seul but est de détourner l’attention des musulmans de leur profanation du vrai champ du sacré tel que le précise et le fixe le Coran. En dehors des 5 piliers de l’Islam, il ne revient à aucune autorité d’édicter les règles des interdits qui régissent la vie des croyants. Ils ne sont ni des oulémas, ni des jurisconsultes ni des doctes de la foi. Personne n’est en droit de qualifier ce qui relève de l’anathème ou non. Il n’y a pas pire supercherie que de s’octroyer des privilèges et des prérogatives enrobés de religieux afin de tirer un avantage à son profit personnel et de prêcher la vertu alors que l’on baigne dans les eaux nauséabondes du vice et de la luxure.

Par conséquent, Ennahdha en se voulant l’Islam viole les dogmes de la foi et la théologie musulmane et il n’y a aucun sacrilège à s’attaquer l’Islam tel qu’il est véhiculé par Ennahdha. L’apostasie est dans la mystification, il est somme toute logique de démystifier cet Islam dont Ennahdha se veut dépositaire. Y a -t-il un seul verset dans le Coran qui confère aux escrocs de la foi le magistère de représentation d’Allah sur terre et gardien de sa bonne parole ? Il est du devoir de chaque musulman de mener une guerre sacrée contre les apostats que sont les islamistes. Comment peut-on laisser passer une telle supercherie sans sourciller. Ennahdha investie par Allah d’une mission divine, autant déclarer le plus grand apostat de tous les temps l’ignoble R Ghannouchi le nouveau Prophète de l’Islam. Les tunisiens par leur silence sont complices d’atteintes aux valeurs sacrées de l’Islam et d’apostasie. R. Ghannouchi qui se veut l’élu d’Allah comme si on fait d’un pédophile un éducateur pour jeune enfant. Sacraliser les locaux infects d’Ennahdha n’est pas qu’un sacrilège, c’est aussi une apostasie. Ennahdha est une secte apostâte et les tunisiens croyants qui jouent au petit mouton de Panurge méritent de finir dans le bûcher de l’enfer. Qu’attendez-vous pour dénoncer et lutter contre ce fléau mortel qui est en passe de tuer l’Islam et les musulmans ?

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