Du pitbull nazi au pitbull islamiste ou la capitulation légendaire de l’Occident. Obama dompte et Sarkozy caresse »
Jamais un islamiste ne se convertira à la démocratie, comme il ne renoncera jamais à ses délires cosmiques d’islamisation du monde et de réislamistion des socités musulmanes ou ne se pliera aux lois de la république. Il ne connaît q’une seule loi, celle de ses délires mystico-sectaires et un seul ordre, celui de la loi de la jungle telle est supposée figurer dans le code prétendu canon de la Charia. Qu’il soit salafiste, jihadiste, wahhabiste, qoutbiste, il est avant tout islamiste. Le parer des vertus humanistes comme le font ses nombreux laudateurs en Occident comme dans les pays du Printemps wahhabisé, est une véritable hérésie intellectuelle et c’est même offensant pour l’islamiste lui-même. Lui qui ne croit qu’aux seuls prescrits de sa religion, il ne va pas se résoudre à tolérer et respecter des règles qui ne sont pas revêtues du sceau divin. Il n’y a pas pire insulte pour lui quand il se fait traiter des démocrate. Autant le traiter d’apostat plutôt que démocrate. L’idée de démocratie l’horrifie à cause de sa nature organique concurrentielle avec sa pensée idéologique profonde telle que la fixe son école théologique acharite et codiée par le jurisconsulte hanbalite Ibn Taymiya source nourricière du wahhabisme, qui réprouve et condamne dogmatiquement toute autre forme d’expression politique dans la vie de la cité. Par conséquent, seule la volonté de Dieu doit s’imposer aux hommes qui en est le maître absolu et dont il se veut l’exécutant. Il ne perdra pas son âme pour la futilité démocratique. Habile, perfide, fourbe, transmutant, retors et rusé, il cherche surtout à endormir la vigilance de son interlocuteur, à le berner, à désinhiber les peurs chez ses proies potentielles, c’est-à-dire toutes celles qui n’ont pas ses atttribits idéologiques et dont le meurtre est légitime et sacré. Il a l’art de se fondre dans son environnement, il est tel un caméléon qui peut changer de couleurs en fonction du décor, mais contrairement au vrai reptile connu pour ses vertus bénéfiques, son changement de couleur dû aussi à son état psychique peut intervenir à l’approche de sa proie. L’islamiste possède un autre don, celui de l’ubiquité. Il peut se présenter sous plusieurs visages à la fois mais au même endroit, faisant apparaître plusieurs facettes différentes de sa personnalité impréhensible et déroutante. Il est jihadiste quand il passe en mode terroriste, salafiste quand il est en mode élucubratoire et hallucinatoire, qoutbiste quand il est en mode politique de caractère ésotérique et sectaire et enfin wahhabite quand il est en mode prosélyte et argentier. Sa démultiplication de personnalité est à la cause principale de son état schizoïde et paranoïde permanent. Ses changements d’apparence sont trompeurs, c’est juste un voile pour dissimuler sa vraie nature ténébreuse et terrifiante et révéler au grand jour cette bête immonde qui irrigue son corps et son esprit. Il a beau se grimer en Dr Jeckil pour les besoins du scénario mais il reste substantiellement en son for intérieur M. Hyde, ce personnage hideux, difforme, immonde, plus satanique que Quasimodo. Quand les Juppé et les Hilary Clinton, les nouveaux Daladier et Chamberlain se plaisent à le caresser dans le sens du poil, à l’amadouer, à vanter ses mérites pacificateurs, ils cherchent surtout à le domestiquer, à le dresser, à le dompter comme un dresseur de fauves ou un maître-chien avec son pitbull. Ils sont dans un jeu de rôle dont le scénario est inspiré par les traumatismes des morsures meurtrières que ce pitbull leur a infligées dans le passé et dont ils cherchent à s’immuniser contre sa férocité et sa cruauté en voulant canaliser ses pulsions terroristes en lui trouvant de nouvelles proies plus compatibles avec son milieu naturel qu’ils s’efforcent de rassurer en drapant le pitbull islamiste de toutes les vertus. N’hésitant pas à s’afficher ouvertement à ses côtés, le couvant de tous les regards, ne manquant pas à manoeuvrer en coulisses pour persuader les futures proies tunisiennes, égyptiennes voire libyennes, que le pitbull est devenu inoffensif et paisible. Balayer toutes les peurs et les angoisses suscitées par cette bête féroce. Eux dont les pays veulent relocaliser de Chine d’ailleurs les unités de production de leurs entreprises nationales pour relancer leur appareil économique désepérèment en panne, ils se mettent aujourd’hui à pratiquer une politique de délocalisation du pitbull islamiste en lui trouvant de nouveaux enclos plus adaptés à son milieu naturel avec le dessein inavoué d’en faire un nouveau chien de garde de leur sécurité intérieure et extérieure. Ils s’imaginent ainsi qu’avec les nouveaux enclos apparus depuis la chute des anciens despotes à laquelle ils ne sont pas totalement étrangers, surtout en ce qui concerne le Département d’Etat et la célérité rare dont a fait preuve Obama pour féliciter le peuple tunisien pour la réussite de sa révolution qui est surtout une expression de sa propre autosatisfaction pour la réussité du premier palier de sa nouvelle stratégie géosécuritaire. L’Administration américaine au lieu d’agir directement sur les vraies causes de la prolifération du pitbull islamiste, se borne à faire des effets la source de la cause. En lui octroyant un nouveau statut d’animal domestique, elle pense pouvoir étouffer ses ardeurs velléitaires et celles qui couveraient chez les peuples musulmans abrutis et annihilés par des siècles d’oppresion théocratique et de despotisme politique. qui ne semblent leur offrir les garanties sécuritaires escomptées, ils ont opté pour une alternative plus radicale leur permettant d’agir directement sur les supposées sources de la prolifération du pitbull islamiste en lui octroyant même le statut de berger allant jusqu’ s’impliquer directement dans le réinvestissement du pitbull dans son milieu naturel. Le pitbull a unne caractéristique rare celle d’être à la fois un chien d’attaque et de défense. Une vraie aubaine pour canaliser les desseins belliqueux que la brigade cynophyle prête à tort aux masses démunies et miséreuses. Avilies et asservies par un système idéologique des plus réactionaires, inégalitaires et liberticides pouvaient assimilées aux congenères potentiels du pitbull islamiste. L’occident incapable de résoudre la quadrature du cercle islamiste, aveuglé par son etnocentrisme et égocentrisme, bourré de préjugés anti-populations des rivages sud de la Méditerrannée fait du problème islamiste une solution à leur propre problème sécuritaire en en faisant un nouveau problème épineux à des populatiuons écrasées et anéanties par toutes sortes de problèmes. Ceux de leur survie et leur dignité humaine. De ce fait, on a préféré transformer l’éveil démocratique né en véritable sacre de la théocratie religieuse. Au lieu d’aider la démocratie à s’enraciner dans le sol tunisien par exemple, ils ont joué ouvertement la carte du pitbull islamiste, comme si elle était la carte de leur propre survie. Ils ont déversé sur sa scène des meutes entières de pitbull de toutes variétés, lesquelles recrachent sans arrêt ces boulottes indigestes et contaminées aux damnés de la terre contents de pouvoir jouir enfin de ce qu’ils croient être un avant goût du festin divin qu’ils leur promettent en guise d’avenir humain. Quant aux nantis tunisiens, ils y voient avec le déferlement de ces meutes de pitbull un moyen des plus redoutables et inviolable pour préserver et pérenniser leur richesse et conserver leur position sociale dominante.
L’occident porte une lourde responsabilité dans l’enlisement antidémocratique actuel de la Tunisie. Pour exorcise ses propres peurs, il se livre à des figures de style mélangeant, l’abdication, la compromission, la couardise, l’opportunisme, la duplicité et l’égoïsme invétéré. Son ingérence éhontée dans la campagne électorale tunisienne, son outrecuidance à l’égard du peuple tunisien et son mépris pour les forces démocratiques du pays, ne peuvent que refléter son état d’angoisse pathologique et désespéré à traiter son mal par le mal infligé à autrui. Une thérapie aux conséquences néfastes pour sa propre santé de par son effet boomerang qu’elle ne manque pas de provoquer à chaque fois que l’on recourt à ce type de méthode thérapeutique. Du fait tout simplement de sa nature contagieuse. Le mal ne se guérit pas non plus par le mal. La période de rémission n’est que provisoire et inapaisante. Le spectacle pathétique et lamentable offert par H. Clinton et A. Juppé n’est pas sans rappeler celui offert par le duo de la capitulation franco-anglaise en 1938. Devenus de véritables cynophylesde luxe couvant dun oeil amouraché leur pitbull favori participant à un concours de beauté canine. On épouse pas la cause islamiste aux dépens de la cause de la démocratie des poeuples qui en sont dépourvus mais qu’ils appellent de tous leurs voeux sans risque et surtout avec le risque qu’en croyant sauver de la sorte leur propre démocratie qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils sont pas en train de précipter sa mort en contribuant à la mise en bière du rêve démocratique en Tunisie comme en Egypte avec la complicité du Qatar et de l’Arabie Saoudite.
Quoi qu’ il en soit ils sont amnésiques et ignorants de leur propre passé. Leur mépris, leur vélinie et veulerie leur ont fait certainement oublier les enseignements des échecs tragiques de leur pays dans le passé. Comme ce fut le cas avec le pitbull nazi. Au lieu de prendre toute la mesure du problème et s’en prémunir d’entrée de jeu ils s’étaient mis à louvoyer, lui apportant toute leur caution politque et la reconnaissance internationale comme en 1936 avec les J.O. de Berlin( voir mon article sur les fantasmes hitlériens de R.Ghannouchi ) à l’encenser et à le doter d’apparat humain. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes les effets comme le dit l’adage. Comment ne peut être surpris et inquiet par autant de cécité de la part de l’Occident et d’être interloqué par autant de ressemblance de l’approche politique indécente et irresponsable ouvertement favorable à chaque fois aux forces du mal incarnées dans les années 30 par le pitbull nazi et aujourd’hui par le pitbull islamiste. L’exemple du pitbull nazi devrait pourtant les rendre plus vigilants et circonspects mais ils y passent outre. Comme ils passsent outre les actes de pogroms contre les Juifs, la nuit de Cristal, les autodafés antisémites et les lois raciales de Nuremberg de 1935. L’histoire se répéte et finit toujours par rattraper tous ceux qui veulent occulter de leur mémoire. Elle commence déjà à se profiler dans le ciel gris et noir tunisien avec le spectacle pogromesque et infamant offert par les islamistes tunisiens à l’occasion de la visite d’un digne héritier du Mufti de Jérusalem nazi notoire. Al-Husseini promu chef d’une division de Waffen SS lors de la 2ème guerre mondiale.