Les sociétés islamisées présentent la particularité d’être celles qui sont les plus en perte de repères intellectuel, social, humain, matériel, diluées dans les angoisses et les peurs de l’instant présent et donc incapables de se projeter dans l’avenir compense par la surconsommation de la religion et l’exaltation du sexe à travers la sublimation du mâle dominant.Les sociétés les plus violentes et les plus inhumaines sont celles qui sont les plus enracinées dans les dogmes religieux. C’est un constat qui ne doit souffrir d’aucune contestation. Que l’on me cite l’exemple d’un seul pays au monde qui infirme cette thèse. A ce que je ne sache aucun. On ne peut nier les effets pervers de l’endoctrinement sectaire ou ultra religieux sur l’état de santé mentale des gens. On ne leur apprend pas à discerner, penser et à réfléchir. On les lobotomise, on les conditionne psychologiquement, on les dépouille de leur être, on s’approprie leur esprit, ils deviennent comme des coquilles vides sans âme, une baudruche que les escrocs de l’endoctrinement religieux se chargent de bourrer avec la poudre de la religion qui se transformera par la volonté des artificiers canoniques en autant de bombes humaines.
Il ne se passe plus un jour sans que les révolutions dites du printemps arabe, alors qu’elles se sont produites en hiver, ne livrent des traits de caractère de ces peuples: bigot, fanatique, raciste, antisémite, ethnocentrique, violent, négationniste, archaïque, misérabiliste, fasciste et intolérant.A défaut d’être des révolutions dans le sens révolutionnaire du terme, elles révèlent toutes les scories des sociétés arabo-islamisées totalement lobotomisées par la religion et la misère socioéconomique:-faillite de la religion elle-même d’où le sectarisme religieux: -corruption endémique, -népotisme chronique, -ultra-violente, ultra-ré actionnisme, fatalisme, ségrégationnisme; mysoginie; indignité; relégation des femmes; obscurantisme, maraboutisme, idolâtrie; terrorisme mental et institutionnel; antisémitisme, intolérance, exacerbation de la violence religieuse; -éclatement de la cellule familiale; -violation des droits de l’enfance;-liquéfaction du corps social;- chômage; -misère psychoaffective;- des sociétés devenues des mouroirs à ciel ouvert avec des pathologies mentales de plus en plus lourdes rendant aléatoires le destin humain de ces sociétés. Des sociétés sans espoir d’avenir où l’on se préoccupe plus de sa mort que de sa vie. Des sociétés sans lendemain qui s’accrochent aux illusions hallucinées du passé comme seul antidote à leur grande souffrance morale et psychique, où la violence couve et susceptible de les embraser à la moindre petite étincelle. Quand on n’attend plus rien de ce monde, il reste le monde de l’au-delà que leur font miroiter les sectes véritables machines à fabriquer des desperados.