Le jeudi 1er mai 2025, à l’occasion de la fête du Travail, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a orchestré un rassemblement qui a débouché sur une manifestation.
Noureddine Taboubi, le secrétaire général de l’UGTT, a prononcé un propos au quartier général de l’organisation, où il a critiqué une importante régression des libertés en Tunisie.
Il a mis en garde contre une dérive autoritaire, caractérisée par une augmentation des procès d’opinion et la pénalisation de toute expression critique.
Il a aussi exprimé son regret que les attentes sociales et économiques soient mises de côté, privilégiant plutôt une gouvernance axée sur l’exclusion et la répression.
La déclaration de Noureddine Taboubi : « les négociations sociales sont un droit, pas une faveur de qui que ce soit, et elles doivent s’ouvrir dans les plus brefs délais afin de préserver la stabilité sociale et de protéger les droits des travailleurs. » Il a ajouté : « nous sommes prêts à mener toutes les formes de lutte ! »
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